ABN Amro: retour réussi à la Bourse d'Amsterdam.
Actualité publiée le 20/11/15 14:05
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(CercleFinance.com) - ABN Amro semble en passe de réussir son pari de revenir en Bourse au vu de la bonne orientation de ses titres vendredi pour sa première journée de cotation.
L'action de la banque néerlandaise, qui se négocie de nouveau sur Euronext Amsterdam depuis ce matin, affiche actuellement un gain de 3,7% à 18,4 euros.
Cela représente d'ores et déjà une capitalisation boursière de quelque 18,2 milliards d'euros.
Hors option de surallocation, la levée de fonds s'est montée à elle seule à 3,3 milliards d'euros, ce qui constitue la deuxième plus grosse introduction en Bourse en Europe cette année.
'ABN Amro en tant qu'établissement introduit à la Bourse d'Amsterdam aujourd'hui n'a rien à voir avec son prédécesseur, qui opérait pourtant sous le même nom', assure Gerrit Zalm, le président du directoire.
'ABN Amro est une banque qui est aujourd'hui essentiellement centrée sur le marché néerlandais et qui dispose d'activité sélectives et bien choisies à l'international', explique son patron.
Pour mémoire, Royal Bank of Scotland, Fortis et Santander avaient déboursé plus de 71 milliards d'euros en 2007, au moment de la crise financière, pour reprendre la banque, qui avait fini par être nationalisée.
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L'action de la banque néerlandaise, qui se négocie de nouveau sur Euronext Amsterdam depuis ce matin, affiche actuellement un gain de 3,7% à 18,4 euros.
Cela représente d'ores et déjà une capitalisation boursière de quelque 18,2 milliards d'euros.
Hors option de surallocation, la levée de fonds s'est montée à elle seule à 3,3 milliards d'euros, ce qui constitue la deuxième plus grosse introduction en Bourse en Europe cette année.
'ABN Amro en tant qu'établissement introduit à la Bourse d'Amsterdam aujourd'hui n'a rien à voir avec son prédécesseur, qui opérait pourtant sous le même nom', assure Gerrit Zalm, le président du directoire.
'ABN Amro est une banque qui est aujourd'hui essentiellement centrée sur le marché néerlandais et qui dispose d'activité sélectives et bien choisies à l'international', explique son patron.
Pour mémoire, Royal Bank of Scotland, Fortis et Santander avaient déboursé plus de 71 milliards d'euros en 2007, au moment de la crise financière, pour reprendre la banque, qui avait fini par être nationalisée.
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