Accor: Barclays Capital relève nettement son objectif.
Actualité publiée le 25/02/15 12:29
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(CercleFinance.com) - Barclays Capital réitère sa recommandation 'surpondérer' sur Accor, mais avec un objectif de cours relevé de 41 à 52 euros dans l'hypothèse d'un environnement macroéconomique porteur.
Le broker explique même envisager une valorisation pouvant aller jusqu'à 62 euros en cas de conjonction porteuse, voire un objectif de 75 euros dans le cadre du scénario parfait ('blue sky scenario').
BarCap dresse une analogie avec l'opérateur hôtelier britannique Whitbread, dont la revalorisation s'était opéré en l'espace de neuf mois en 2012 avant de se poursuivre durant les deux années suivantes sous l'effet du redressement de l'économie britannique, affichant une hausse annuelle moyenne de l'ordre de 20%.
S'il reconnaît que la reprise européenne en cours est moins évidente que celle qui a touché le Royaume-Uni, le courtier évoque des risques 'plutôt situés du côté de la hausse' en ce qui concerne les dépenses des entreprises.
Copyright © 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
Le broker explique même envisager une valorisation pouvant aller jusqu'à 62 euros en cas de conjonction porteuse, voire un objectif de 75 euros dans le cadre du scénario parfait ('blue sky scenario').
BarCap dresse une analogie avec l'opérateur hôtelier britannique Whitbread, dont la revalorisation s'était opéré en l'espace de neuf mois en 2012 avant de se poursuivre durant les deux années suivantes sous l'effet du redressement de l'économie britannique, affichant une hausse annuelle moyenne de l'ordre de 20%.
S'il reconnaît que la reprise européenne en cours est moins évidente que celle qui a touché le Royaume-Uni, le courtier évoque des risques 'plutôt situés du côté de la hausse' en ce qui concerne les dépenses des entreprises.
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