Accor: le FSI toujours opposé à la scission.
Actualité publiée le 11/12/09 12:17
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(CercleFinance.com) - Dans une interview accordée ce matin au Figaro, le directeur du Fonds stratégique d'investissement (FSI) de l'Etat, Gilles Michel, confirme sa première opinion sur l'éventuelle scission d'Accor : elle n'est pas nécessaire, et il votera contre.
Le FSI détient 7,5% du capital du groupe hôtelier. Son patron indique que son opposition à la scission des pôles hôtellerie/services prépayés (ticket et coupons restaurants...) ne repose pas sur un dogme : il pourrait s'agir d'une partie d'un projet, mais en aucun cas d'un projet en tant que tel, a-t-il déclaré au journal. Gilles Michel craint également que mener cette opération dans un contexte économique ne fragilise le groupe.
A l'inverse, Accor pourrait poursuivre une stratégie ambitieuse de croissance interne et externe dans sa forme actuelle, estime-t-il, selon le Figaro.
Sans préjuger de la décision du conseil d'administration, Gilles Michel annonce clairement qu'il votera contre la scission. Certes, le FSI sera confronté à deux actionnaires pesant 30% du capital - ce qui comprend à mots couverts Colony Capital et ses 19% environ - dont il ne doute pas qu'ils conserveront leurs participations dans les deux éventuelles sociétés pendant plusieurs années. 'Pour ce qui concerne le FSI, j'aurais alors toute liberté d'appréciation quant à notre participation', conclut Gilles Michel.
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Le FSI détient 7,5% du capital du groupe hôtelier. Son patron indique que son opposition à la scission des pôles hôtellerie/services prépayés (ticket et coupons restaurants...) ne repose pas sur un dogme : il pourrait s'agir d'une partie d'un projet, mais en aucun cas d'un projet en tant que tel, a-t-il déclaré au journal. Gilles Michel craint également que mener cette opération dans un contexte économique ne fragilise le groupe.
A l'inverse, Accor pourrait poursuivre une stratégie ambitieuse de croissance interne et externe dans sa forme actuelle, estime-t-il, selon le Figaro.
Sans préjuger de la décision du conseil d'administration, Gilles Michel annonce clairement qu'il votera contre la scission. Certes, le FSI sera confronté à deux actionnaires pesant 30% du capital - ce qui comprend à mots couverts Colony Capital et ses 19% environ - dont il ne doute pas qu'ils conserveront leurs participations dans les deux éventuelles sociétés pendant plusieurs années. 'Pour ce qui concerne le FSI, j'aurais alors toute liberté d'appréciation quant à notre participation', conclut Gilles Michel.
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