Accor: miné par une dégradation d'analyste.
Actualité publiée le 15/04/13 09:34
| Cours | Graphes | News | Forum |
(CercleFinance.com) - Lanterne rouge du CAC40, Accor dévisse de 4% à 25,7 euros, miné par une note de Crédit Suisse qui dégrade son opinion de 'surperformance' à 'sous-performance' et son objectif de cours de 28,6 à 26,9 euros.
L'analyste indique percevoir 'un risque grandissant de déception' à l'approche du point d'activité trimestriel du géant de l'hôtellerie, prévu le 17 avril après Bourse.
Des données de marchés plus faibles que prévu pour le premier trimestre conduisent le bureau d'études à réduire ses hypothèses de RevPAR (revenu par chambre disponible) à -1% pour 2013 et de bénéfice par action de 7%.
Crédit Suisse se déclare particulièrement préoccupé par la baisse du RevPAR réel en France, au Royaume Uni et dans le reste de l'Europe, qui implique des pressions supplémentaires sur les profits en organique, comme on a pu le constater au second semestre 2012.
'Le dossier de restructuration de actifs devrait encore favoriser une revalorisation à horizon 2016, avec un potentiel de retour de trésorerie d'un milliard d'euros, mais c'est insuffisant pour compenser les risques accrus au niveau de l'activité', juge l'analyste.
Copyright © 2013 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
L'analyste indique percevoir 'un risque grandissant de déception' à l'approche du point d'activité trimestriel du géant de l'hôtellerie, prévu le 17 avril après Bourse.
Des données de marchés plus faibles que prévu pour le premier trimestre conduisent le bureau d'études à réduire ses hypothèses de RevPAR (revenu par chambre disponible) à -1% pour 2013 et de bénéfice par action de 7%.
Crédit Suisse se déclare particulièrement préoccupé par la baisse du RevPAR réel en France, au Royaume Uni et dans le reste de l'Europe, qui implique des pressions supplémentaires sur les profits en organique, comme on a pu le constater au second semestre 2012.
'Le dossier de restructuration de actifs devrait encore favoriser une revalorisation à horizon 2016, avec un potentiel de retour de trésorerie d'un milliard d'euros, mais c'est insuffisant pour compenser les risques accrus au niveau de l'activité', juge l'analyste.
Copyright © 2013 CercleFinance.com. Tous droits réservés.