AccorHotels: Sébastien Bazin serait en discussion avec HNA.
Actualité publiée le 06/06/16 14:52
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(CercleFinance.com) - Sébastien Bazin aurait contacté le groupe chinois HNA selon le JDD, pour contrer Jin Jiang qui souhaiterait augmenter sa participation dans le capital du groupe Accor.
L'Etat pourrait également entrer au capital du groupe, à hauteur de 10% indique l'hebdomadaire. Cette opération aurait le soutien de Manuel Valls, Ségolène Royal et Matthias Fekl. Emmanuel Macron en revanche préfèrerait utiliser les ressources de l'Etat pour aider la filière nucléaire.
Le groupe chinois Jin Jiang aurait l'intention d'accroître sa participation sur Accor à 29%, soit la limite avant le seuil des 30% synonyme de lancement automatique d'une offre, avait indiqué vendredi dernier Le Figaro.
D'après le quotidien, Jin Jiang aurait d'ores et déjà formulé une offre de rachat de la participation de 11,08% détenue par le concert Colony-Eurazeo au prix de 45 euros par action.
La perspective d'une prise de contrôle par un groupe étranger apparaît donc désormais hautement plausible. Pour empêcher celle-ci, l'Etat serait intervenu et négocierait actuellement avec Jin Jiang en vue d'obtenir un accord sur le modèle de celui mis en place au capital de PSA. L'objectif serait d'aboutir à un engagement portant sur le plafonnement de la participation de la société chinoise et de ses droits de vote.
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L'Etat pourrait également entrer au capital du groupe, à hauteur de 10% indique l'hebdomadaire. Cette opération aurait le soutien de Manuel Valls, Ségolène Royal et Matthias Fekl. Emmanuel Macron en revanche préfèrerait utiliser les ressources de l'Etat pour aider la filière nucléaire.
Le groupe chinois Jin Jiang aurait l'intention d'accroître sa participation sur Accor à 29%, soit la limite avant le seuil des 30% synonyme de lancement automatique d'une offre, avait indiqué vendredi dernier Le Figaro.
D'après le quotidien, Jin Jiang aurait d'ores et déjà formulé une offre de rachat de la participation de 11,08% détenue par le concert Colony-Eurazeo au prix de 45 euros par action.
La perspective d'une prise de contrôle par un groupe étranger apparaît donc désormais hautement plausible. Pour empêcher celle-ci, l'Etat serait intervenu et négocierait actuellement avec Jin Jiang en vue d'obtenir un accord sur le modèle de celui mis en place au capital de PSA. L'objectif serait d'aboutir à un engagement portant sur le plafonnement de la participation de la société chinoise et de ses droits de vote.
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