Air France-KLM: fin de l'hémorragie boursière.
Actualité publiée le 11/08/14 11:56
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(CercleFinance.com) - Dans une spirale très négative qui l'a vu céder du terrain pendant dix séances de rang, le titre Air-France KLM retrouve des couleurs ce lundi.
Bénéficiant de rachats à bons comptes, il engrange 3,8% à 7,4 euros après avoir touché un plus bas de six mois vendredi dernier. Si l'hémorragie boursière est stoppée, le groupe franco-néerlandais n'en évolue pas moins dans un contexte difficile.
Moscou a en effet haussé la ton la semaine dernière, brandissant la menace d'une interdiction de survol du territoire russe pour les compagnies aériennes occidentales effectuant des liaisons entre l'Europe et l'Asie, en réponse aux sanctions adoptées par les pays occidentaux dans le cadre du volcanique dossier ukrainien.
Cette mesure pourrait avoir d'immenses conséquences pour les groupes concernés, entraînant notamment d'importants surcoûts de kérosène.
'L'importance prise par la propagation du virus Ebola en Afrique pourrait aussi constituer un frein aux échanges aériens, si les autorités échouaient à la juguler', analyse Barclays Bourse.
Last but not least, si le trafic d'Air France-KLM a augmenté de 1,9% le mois dernier, ses rendements ont également baissé...
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Bénéficiant de rachats à bons comptes, il engrange 3,8% à 7,4 euros après avoir touché un plus bas de six mois vendredi dernier. Si l'hémorragie boursière est stoppée, le groupe franco-néerlandais n'en évolue pas moins dans un contexte difficile.
Moscou a en effet haussé la ton la semaine dernière, brandissant la menace d'une interdiction de survol du territoire russe pour les compagnies aériennes occidentales effectuant des liaisons entre l'Europe et l'Asie, en réponse aux sanctions adoptées par les pays occidentaux dans le cadre du volcanique dossier ukrainien.
Cette mesure pourrait avoir d'immenses conséquences pour les groupes concernés, entraînant notamment d'importants surcoûts de kérosène.
'L'importance prise par la propagation du virus Ebola en Afrique pourrait aussi constituer un frein aux échanges aériens, si les autorités échouaient à la juguler', analyse Barclays Bourse.
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