Airbus: JPMorgan Cazenove n'est plus vendeur.
Actualité publiée le 05/01/17 12:08
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(CercleFinance.com) - JPMorgan Cazenove a révisé en hausse sa perception du secteur aéronautique européen. Dans ce cadre, les analystes ne voient plus l'action Airbus d'un mauvais oeil : de la position vendeuse de sous-pondérer, les analystes sont passés à un conseil neutre. Mais il n'est pas l'heure, selon eux, de revenir à l'achat. L'objectif de cours est relevé de 55 à 68 euros.
D'une manière générale, les spécialistes estiment que le secteur mérite d'être considéré sous un angle plus constructif. En dépit des récentes annulations de commandes de la part des compagnies aériennes, des perspectives économiques positives incitent à la confiance sur les carnets de commande, d'autant que celui d'Airbus est énorme. En outre, les grands et coûteux programmes de R&D ne sont plus d'actualité alors qu'Airbus passe maintenant à la mise en production industrielle des avions.
Cependant, nous sommes toujours d'avis que les risques d'exécution qui pèsent sur Airbus à court terme sont plus élevés que tel n'est le cas dans l'ensemble du secteur, indique une note de recherche. En cause : notamment l'A330neo et l'A350-1000, mais aussi l'A320neo.
En conséquence, les prévisions du consensus quant à Airbus sont potentiellement menacées, notamment à horizon 2018. Enfin, les entrées de commandes pourraient décevoir. C'est la raison pour laquelle JPMorgan Cazenove ne se montre pas plus positif sur le titre.
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Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
D'une manière générale, les spécialistes estiment que le secteur mérite d'être considéré sous un angle plus constructif. En dépit des récentes annulations de commandes de la part des compagnies aériennes, des perspectives économiques positives incitent à la confiance sur les carnets de commande, d'autant que celui d'Airbus est énorme. En outre, les grands et coûteux programmes de R&D ne sont plus d'actualité alors qu'Airbus passe maintenant à la mise en production industrielle des avions.
Cependant, nous sommes toujours d'avis que les risques d'exécution qui pèsent sur Airbus à court terme sont plus élevés que tel n'est le cas dans l'ensemble du secteur, indique une note de recherche. En cause : notamment l'A330neo et l'A350-1000, mais aussi l'A320neo.
En conséquence, les prévisions du consensus quant à Airbus sont potentiellement menacées, notamment à horizon 2018. Enfin, les entrées de commandes pourraient décevoir. C'est la raison pour laquelle JPMorgan Cazenove ne se montre pas plus positif sur le titre.
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