Airbus: UBS vise maintenant 82 euros.
Actualité publiée le 23/02/17 11:38
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(CercleFinance.com) - UBS a relevé son objectif de cours sur l'action Airbus Group dans le sillage des comptes annuels publiés par l'avionneur européen. Toujours à l'achat, le bureau d'études vise désormais 82 euros, contre 77 euros précédemment.
Sans tenir compte des charges (plus lourdes qu'attendues) liées au gros-porteur militaire A400M, les comptes 2016 sont jugés 'meilleurs que prévu, tout spécialement en ce qui concerne le cash flow libre', indique une note.
C'est d'ailleurs l'argument central des analystes : de 1,4 milliard d'euros en données ajustées en 2016, le cash flow libre d'Airbus devrait selon UBS avoisiner 1,8 milliard en 2017 avant 2,5 milliards en 2018. Les raisons invoquées : la gestion rigoureuse des coûts de production et l'augmentation des livraisons d'avions, alors que le programme A350 continue de monter en puissance.
Et ce en dépit des surcoûts de l'A400M, qui pourraient entraîner des décaissements supplémentaires de 1,8 milliard d'euros entre 2017 et 2019.
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Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
Sans tenir compte des charges (plus lourdes qu'attendues) liées au gros-porteur militaire A400M, les comptes 2016 sont jugés 'meilleurs que prévu, tout spécialement en ce qui concerne le cash flow libre', indique une note.
C'est d'ailleurs l'argument central des analystes : de 1,4 milliard d'euros en données ajustées en 2016, le cash flow libre d'Airbus devrait selon UBS avoisiner 1,8 milliard en 2017 avant 2,5 milliards en 2018. Les raisons invoquées : la gestion rigoureuse des coûts de production et l'augmentation des livraisons d'avions, alors que le programme A350 continue de monter en puissance.
Et ce en dépit des surcoûts de l'A400M, qui pourraient entraîner des décaissements supplémentaires de 1,8 milliard d'euros entre 2017 et 2019.
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