Arkema: en pertes au T1 2009.
Actualité publiée le 13/05/09 09:32
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(CercleFinance.com) - Arkema a enregistré un résultat net part du groupe de -35 millions d'euros au premier trimestre 2009 contre 72 millions d'euros au premier trimestre 2008. Le résultat d'exploitation courant s'est élevé à -12 millions d'euros.
L'EBITDA du groupe de chimie a chuté des deux tiers à 57 millions, dans un environnement économique très dégradé. L'impact de la forte baisse des volumes a été partiellement compensé par les actions internes de productivité et les nouveaux projets.
Les économies structurelles de frais fixes sont en ligne avec l'objectif annoncé de 110 millions d'euros sur l'année. Ces gains ont été complétés par des mesures conjoncturelles d'adaptation à la faiblesse de la demande.
Le chiffre d'affaires s'est établi à 1 092 millions d'euros, en baisse de 26,8%. Le fort ralentissement de la demande sur de nombreux segments de marché et les déstockages chez les clients se sont poursuivis et ont entraîné une diminution très importante des volumes sur la plupart des activités (-27,1%).
En moyenne, l'effet prix a été négatif (-1,3%) du fait principalement des baisses des prix dans la filière PVC et les Acryliques. L'effet de conversion est positif, du fait principalement de l'augmentation du dollar par rapport à l'euro (+2,2%) et l'effet des variations de périmètre reste limité (-0,6%).
Au cours du premier trimestre, le flux de trésorerie libre s'élève à 96 millions d'euros (contre -101 millions d'euros au premier trimestre 2008), dans un environnement difficile. A fin mars 2009, la dette nette du groupe diminue à 435 millions d'euros contre 495 millions d'euros au 31 décembre 2008, soit un ratio très faible d'endettement sur fonds propres de 21%.
Estimant que la visibilité sur les conditions de marché au cours des prochains mois reste très limitée et que l'environnement global restera très difficile sur l'ensemble de l'année, Arkema a pour principale priorité une gestion très rigoureuse des flux de trésorerie et la préservation de sa solidité financière. La société confirme son objectif de générer un flux de trésorerie libre positif en 2009 et de réduire ses frais fixes de 550 millions d'euros en 2010 par rapport à 2005.
Copyright © 2009 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
L'EBITDA du groupe de chimie a chuté des deux tiers à 57 millions, dans un environnement économique très dégradé. L'impact de la forte baisse des volumes a été partiellement compensé par les actions internes de productivité et les nouveaux projets.
Les économies structurelles de frais fixes sont en ligne avec l'objectif annoncé de 110 millions d'euros sur l'année. Ces gains ont été complétés par des mesures conjoncturelles d'adaptation à la faiblesse de la demande.
Le chiffre d'affaires s'est établi à 1 092 millions d'euros, en baisse de 26,8%. Le fort ralentissement de la demande sur de nombreux segments de marché et les déstockages chez les clients se sont poursuivis et ont entraîné une diminution très importante des volumes sur la plupart des activités (-27,1%).
En moyenne, l'effet prix a été négatif (-1,3%) du fait principalement des baisses des prix dans la filière PVC et les Acryliques. L'effet de conversion est positif, du fait principalement de l'augmentation du dollar par rapport à l'euro (+2,2%) et l'effet des variations de périmètre reste limité (-0,6%).
Au cours du premier trimestre, le flux de trésorerie libre s'élève à 96 millions d'euros (contre -101 millions d'euros au premier trimestre 2008), dans un environnement difficile. A fin mars 2009, la dette nette du groupe diminue à 435 millions d'euros contre 495 millions d'euros au 31 décembre 2008, soit un ratio très faible d'endettement sur fonds propres de 21%.
Estimant que la visibilité sur les conditions de marché au cours des prochains mois reste très limitée et que l'environnement global restera très difficile sur l'ensemble de l'année, Arkema a pour principale priorité une gestion très rigoureuse des flux de trésorerie et la préservation de sa solidité financière. La société confirme son objectif de générer un flux de trésorerie libre positif en 2009 et de réduire ses frais fixes de 550 millions d'euros en 2010 par rapport à 2005.
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