BASF: dévisse sur une dégradation d'analyste.
Actualité publiée le 29/04/13 11:27
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(CercleFinance.com) - Lanterne rouge du DAX, BASF dévisse de 3% à 70,4 euros à Francfort, dans le sillage d'un abaissement d'opinion chez Crédit Suisse de 'surperformance' à 'neutre'.
L'analyste abaisse aussi son objectif de cours de 78 à 75 euros, à la suite des résultats trimestriels du chimiste allemand et de la performance récente du titre (+7% par rapport au marché).
'BASF constitue une exposition de qualité dans le secteur de la chimie, mais nous pensons que la croissance organique est susceptible de se modérer face à des marchés finaux difficile', estime l'analyste.
Si le résultat du groupe a battu le consensus de 14% au premier trimestre, Crédit Suisse souligne que cet écart a été principalement porté par les activités de chimie cycliques, l'énergie et l'agrochimie, segments qui exigent une décote de valorisation sur les multiples en raison de leurs caractères spécifiques.
L'analyste perçoit un risque à la baisse par rapport au consensus de marché, car celui-ci exigerait une reprise de grande ampleur de la demande au second semestre et/ou des programmes de réduction de coûts supplémentaires.
Enfin, à un ratio valeur d'entreprise sur EBITDA 2014 de 6,9 fois, soit une prime de 7% par rapport à la moyenne historique, Crédit Suisse estime que la valorisation de BASF approche sa valeur intrinsèque.
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L'analyste abaisse aussi son objectif de cours de 78 à 75 euros, à la suite des résultats trimestriels du chimiste allemand et de la performance récente du titre (+7% par rapport au marché).
'BASF constitue une exposition de qualité dans le secteur de la chimie, mais nous pensons que la croissance organique est susceptible de se modérer face à des marchés finaux difficile', estime l'analyste.
Si le résultat du groupe a battu le consensus de 14% au premier trimestre, Crédit Suisse souligne que cet écart a été principalement porté par les activités de chimie cycliques, l'énergie et l'agrochimie, segments qui exigent une décote de valorisation sur les multiples en raison de leurs caractères spécifiques.
L'analyste perçoit un risque à la baisse par rapport au consensus de marché, car celui-ci exigerait une reprise de grande ampleur de la demande au second semestre et/ou des programmes de réduction de coûts supplémentaires.
Enfin, à un ratio valeur d'entreprise sur EBITDA 2014 de 6,9 fois, soit une prime de 7% par rapport à la moyenne historique, Crédit Suisse estime que la valorisation de BASF approche sa valeur intrinsèque.
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