BASF: un deuxième trimestre décevant.
Actualité publiée le 27/07/16 09:50
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(CercleFinance.com) - Deuxième plus forte baisse du Dax en début de séance, le titre BASF (-2,8%) est chahuté ce mercredi matin après des comptes du deuxième trimestre en recul et des prévisions moroses.
Le groupe de Leverkusen, qui espère toujours racheter Monsanto, a fait état d'un bénéfice net en baisse de 14% sur un an à 1,09 milliard d'euros et d'un bénéfice d'exploitation (Ebit) en diminution de 16% à 1,7 milliard d'euros néanmoins conforme à la prévision du consensus.
L'activité s'est elle aussi inscrite en retrait, avec un chiffre d'affaires qui a décroché de 24% à 14,5 milliards d'euros, loin des 15,4 milliards escomptés par les analystes.
La faiblesse chronique des prix du pétrole et du gaz explique pour une large part cette mauvaise performance générale et le chimiste allemand n'a pas fait mystère d'un certain pessimisme pour l'exercice en cours, anticipant 'la poursuite des conditions actuelles difficiles parallèlement à des risques importants'.
Dans ce contexte, les revenus annuels sont attendus en net repli, la faute également à l'arrêt de plusieurs activités de commerce et stockage de gaz naturel dans le cadre d'un accord avec le russe Gazprom.
L'Ebit avant éléments exceptionnels devrait par ailleurs ressortir fin 2016 à un niveau légèrement inférieur à celui de l'année écoulée.
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Le groupe de Leverkusen, qui espère toujours racheter Monsanto, a fait état d'un bénéfice net en baisse de 14% sur un an à 1,09 milliard d'euros et d'un bénéfice d'exploitation (Ebit) en diminution de 16% à 1,7 milliard d'euros néanmoins conforme à la prévision du consensus.
L'activité s'est elle aussi inscrite en retrait, avec un chiffre d'affaires qui a décroché de 24% à 14,5 milliards d'euros, loin des 15,4 milliards escomptés par les analystes.
La faiblesse chronique des prix du pétrole et du gaz explique pour une large part cette mauvaise performance générale et le chimiste allemand n'a pas fait mystère d'un certain pessimisme pour l'exercice en cours, anticipant 'la poursuite des conditions actuelles difficiles parallèlement à des risques importants'.
Dans ce contexte, les revenus annuels sont attendus en net repli, la faute également à l'arrêt de plusieurs activités de commerce et stockage de gaz naturel dans le cadre d'un accord avec le russe Gazprom.
L'Ebit avant éléments exceptionnels devrait par ailleurs ressortir fin 2016 à un niveau légèrement inférieur à celui de l'année écoulée.
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