Bayer: étudierait une cession de sa division plastique.
Actualité publiée le 28/04/14 10:27
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(CercleFinance.com) - Bayer étudierait une cession de sa division plastique, valorisée à dix milliards de dollars, pour se concentrer sur le développement de ses activités de santé, d'après un article de Bloomberg citant des sources proches du dossier.
Le média américain rapporte qu'Evonik Industries aurait manifesté un intérêt pour ces activités il y a quelques mois, ce qui n'aurait pas débouché sur une décision, mais inciterait Bayer à envisager une cession.
Bloomberg explique notamment que le rendement de la division plastique serait inférieur au coût du capital employé, ce qui remettrait en cause son maintien dans le périmètre du groupe allemand de chimie-pharmacie.
Une telle cession interviendrait alors que Bayer chercherait à réaliser des acquisitions pour étendre sa présence dans le domaine pharmaceutique et plus largement dans celui de la santé (y compris le marché vétérinaire).
'La cession de Material Science est subodorée depuis longtemps et ne serait pas une réelle surprise tant ce mouvement peut sembler logique', commente Aurel BGC, rappelant d'ailleurs que Novartis est sorti de la chimie depuis longtemps.
'On peut se demander quelles synergies existent encore entre la santé (qui s'éloigne peu à peu de la chimie traditionnelle pour se focaliser sur les sciences du vivant) et la chimie à proprement parler', poursuit le bureau d'études.
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Le média américain rapporte qu'Evonik Industries aurait manifesté un intérêt pour ces activités il y a quelques mois, ce qui n'aurait pas débouché sur une décision, mais inciterait Bayer à envisager une cession.
Bloomberg explique notamment que le rendement de la division plastique serait inférieur au coût du capital employé, ce qui remettrait en cause son maintien dans le périmètre du groupe allemand de chimie-pharmacie.
Une telle cession interviendrait alors que Bayer chercherait à réaliser des acquisitions pour étendre sa présence dans le domaine pharmaceutique et plus largement dans celui de la santé (y compris le marché vétérinaire).
'La cession de Material Science est subodorée depuis longtemps et ne serait pas une réelle surprise tant ce mouvement peut sembler logique', commente Aurel BGC, rappelant d'ailleurs que Novartis est sorti de la chimie depuis longtemps.
'On peut se demander quelles synergies existent encore entre la santé (qui s'éloigne peu à peu de la chimie traditionnelle pour se focaliser sur les sciences du vivant) et la chimie à proprement parler', poursuit le bureau d'études.
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