Belvédère:pourrait revoir son calendrier de cession d'actifs
Actualité publiée le 24/09/10 10:41
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(CercleFinance.com) - Le feuilleton Belvédère se poursuit : le groupe de spiritueux indique ce matin qu'il ' pourrait revoir son calendrier de cession d'actifs ', laissant entendre que la vente de Marie Brizard pourrait être repoussée.
' Indépendamment de la cession ou non de sa filiale Marie Brizard, Belvédère disposera en novembre prochain des moyens financiers nécessaires au paiement de sa première échéance', a ainsi expliqué le groupe.
Une annonce que semble apprécier par les investisseurs puisque le titre reprend une partie du terrain cédé ces derniers jours, en s'adjugeant 3,4% à 21,5 euros, sur la place de Paris, vers 10h30.
Dans son communiqué, Belvédère rappelle que par un arrêt en date du 21 septembre, la Cour d'appel de Dijon a admis la déclaration de créance de BNY Mellon en s'appuyant sur le contrat soumis au droit de New York.
Si ' la Cour a ainsi écarté le droit français d'ordre public qui est seul applicable en matière de sauvegarde ', indique la société, ' en revanche, la Cour a arrêté les intérêts de la créance FRN au 15 mai 2013 '.
En conséquence, cette créance ne produisant donc plus d'intérêts à compter de cette date, le montant des échéances prévues initialement par le plan de sauvegarde seront fortement revues à la baisse, ajoute la compagnie.
Par ailleurs, en attendant que la Cour de cassation se prononce, la décision de la Cour d'appel n'est pas définitive si bien que les fonds ne seront pas versés à la Bank of New York Mellon, conclut Belvédère.
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' Indépendamment de la cession ou non de sa filiale Marie Brizard, Belvédère disposera en novembre prochain des moyens financiers nécessaires au paiement de sa première échéance', a ainsi expliqué le groupe.
Une annonce que semble apprécier par les investisseurs puisque le titre reprend une partie du terrain cédé ces derniers jours, en s'adjugeant 3,4% à 21,5 euros, sur la place de Paris, vers 10h30.
Dans son communiqué, Belvédère rappelle que par un arrêt en date du 21 septembre, la Cour d'appel de Dijon a admis la déclaration de créance de BNY Mellon en s'appuyant sur le contrat soumis au droit de New York.
Si ' la Cour a ainsi écarté le droit français d'ordre public qui est seul applicable en matière de sauvegarde ', indique la société, ' en revanche, la Cour a arrêté les intérêts de la créance FRN au 15 mai 2013 '.
En conséquence, cette créance ne produisant donc plus d'intérêts à compter de cette date, le montant des échéances prévues initialement par le plan de sauvegarde seront fortement revues à la baisse, ajoute la compagnie.
Par ailleurs, en attendant que la Cour de cassation se prononce, la décision de la Cour d'appel n'est pas définitive si bien que les fonds ne seront pas versés à la Bank of New York Mellon, conclut Belvédère.
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