BMW: le temps est venu d'alléger, selon Morgan Stanley.
Actualité publiée le 20/12/16 11:27
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(CercleFinance.com) - Certes, BMW reste un constructeur automobile de qualité mais selon Morgan Stanley, la récente hausse du titre en a sensiblement réduit le potentiel. Les analystes ne sont donc plus d'avis d'acheter la valeur, le conseil de surpondérer faisant place à la position neutre de pondération en ligne. L'objectif de cours, lui, est ajusté de 78 à 81 euros, mais le titre évolue à ce jour dans la zone des 90 euros.
Depuis son point bas de juin, l'action BMW a repris environ 30%, constate une note de recherche, alors que les investisseurs sont devenus sensiblement plus optimistes quant aux perspectives de la croissance mondiale.
Le bureau d'études se veut plus prudent : tous les risques n'ont pas disparu dans le secteur automobile. BMW devrait d'ailleurs connaître une année 2017 difficile alors que la demande nord-américaine se dégrade et que celle de Chine devrait ralentir fortement. En Europe, attention au Royaume-Uni et à l'Allemagne.
Gare aussi à la voiture du futur : Stefan Juraschek, le vice-président de BMW en charge du véhicule électrique, a estimé au début du mois que BMW devrait traverser une vallée de larmes avant que les coûts de production des batteries automobiles ne baissent suffisamment. .
Copyright © 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
Depuis son point bas de juin, l'action BMW a repris environ 30%, constate une note de recherche, alors que les investisseurs sont devenus sensiblement plus optimistes quant aux perspectives de la croissance mondiale.
Le bureau d'études se veut plus prudent : tous les risques n'ont pas disparu dans le secteur automobile. BMW devrait d'ailleurs connaître une année 2017 difficile alors que la demande nord-américaine se dégrade et que celle de Chine devrait ralentir fortement. En Europe, attention au Royaume-Uni et à l'Allemagne.
Gare aussi à la voiture du futur : Stefan Juraschek, le vice-président de BMW en charge du véhicule électrique, a estimé au début du mois que BMW devrait traverser une vallée de larmes avant que les coûts de production des batteries automobiles ne baissent suffisamment. .
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