Bouygues: 'incidence modeste' de la crise du monde arabe (c)
Actualité publiée le 02/03/11 12:20
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(CercleFinance.com) - Correctif : bien lire dans notre précédente dépêche que le groupe Bouygues n'est pas présent en Tunisie, contrairement à ce qui était indiqué. Suit une version amendée.
A l'occasion d'une conférence de presse, Martin Bouygues, le PDG du groupe éponyme, a affirmé ce matin que Bouygues était peu exposé au Moyen-Orient, une zone où se déroulent actuellement de nombreux mouvements de contestations politiques.
Le dirigeant a évoqué une ' incidence modeste et transitoire ', un impact ' à la marge ', aussi bien pour le groupe Bouygues en général, que pour sa filiale Alstom en particulier (dont il détient plus de 30%).
Globalement, il a indiqué que le Moyen-Orient ne représentait que 3-4% du chiffre d'affaires de Bouygues, avec notamment une présence en Egypte, mais aucune en Libye, qui connaît actuellement les révoltes les plus graves.
Le dirigeant a d'abord expliqué ' regarder la situation avec intérêt, appréhension et beaucoup d'espoirs ', comme tout un chacun.
Avant d'ajouter que ' ce mouvement de révolution pourrait créer des opportunités pour tout le monde ', même si ' cela reste encore à concrétiser '.
Ainsi, ' si un pays comme la Libye, qui n'était pas accessible jusque là, se moralisait, cela nous arrangerait ', a-t-il indiqué.
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A l'occasion d'une conférence de presse, Martin Bouygues, le PDG du groupe éponyme, a affirmé ce matin que Bouygues était peu exposé au Moyen-Orient, une zone où se déroulent actuellement de nombreux mouvements de contestations politiques.
Le dirigeant a évoqué une ' incidence modeste et transitoire ', un impact ' à la marge ', aussi bien pour le groupe Bouygues en général, que pour sa filiale Alstom en particulier (dont il détient plus de 30%).
Globalement, il a indiqué que le Moyen-Orient ne représentait que 3-4% du chiffre d'affaires de Bouygues, avec notamment une présence en Egypte, mais aucune en Libye, qui connaît actuellement les révoltes les plus graves.
Le dirigeant a d'abord expliqué ' regarder la situation avec intérêt, appréhension et beaucoup d'espoirs ', comme tout un chacun.
Avant d'ajouter que ' ce mouvement de révolution pourrait créer des opportunités pour tout le monde ', même si ' cela reste encore à concrétiser '.
Ainsi, ' si un pays comme la Libye, qui n'était pas accessible jusque là, se moralisait, cela nous arrangerait ', a-t-il indiqué.
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