Burberry: Bryan Garnier initie à 'neutre'.
Actualité publiée le 19/05/16 09:27
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(CercleFinance.com) - Bryan Garnier initie Burberry avec une recommandation 'neutre' et une valeur intrinsèque ('fair value') de 1.200 pence, au lendemain de la publication par le groupe de luxe britannique de ses résultats au titre de son exercice 2015-16.
'Au sein d'un secteur du luxe qui connaît un ralentissement de croissance, le groupe Burberry devrait enregistrer une progression légèrement inférieure en 2016-17 comme cela avait été le cas en 2015-16', estime l'intermédiaire financier.
Le profil du groupe lui semble plus risqué actuellement que certains de ses pairs en raison d'un poids du réseau retail inférieur à celui de ses pairs les plus proches, d'une surexposition à la clientèle chinoise et surtout d'un poids très important du prêt-à-porter.
Si la valeur se traite avec une légère décote par rapport à la moyenne du secteur sur l'EV/EBIT 2016, Bryan Garnier pense que sa taille et sa forte dépendance au prêt-à-porter n'en font pas un candidat idéal pour une acquisition.
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Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
'Au sein d'un secteur du luxe qui connaît un ralentissement de croissance, le groupe Burberry devrait enregistrer une progression légèrement inférieure en 2016-17 comme cela avait été le cas en 2015-16', estime l'intermédiaire financier.
Le profil du groupe lui semble plus risqué actuellement que certains de ses pairs en raison d'un poids du réseau retail inférieur à celui de ses pairs les plus proches, d'une surexposition à la clientèle chinoise et surtout d'un poids très important du prêt-à-porter.
Si la valeur se traite avec une légère décote par rapport à la moyenne du secteur sur l'EV/EBIT 2016, Bryan Garnier pense que sa taille et sa forte dépendance au prêt-à-porter n'en font pas un candidat idéal pour une acquisition.
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