Burberry: sanctionné pour son point d'activité.
Actualité publiée le 14/10/14 10:25
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(CercleFinance.com) - Burberry dévisse de 4,6% à 1.410 pence à Londres, à la suite du point d'activité semestriel du groupe de vêtements haut de gamme, marqué par un ralentissement plus fort que prévu des ventes dans les magasins en propre au deuxième trimestre.
Sur les six premiers mois de l'exercice, le chiffre d'affaires a augmenté de 7% (+14% hors effets de changes) à 1.100 millions de livres, dépassant ainsi légèrement les 1.072 millions anticipés par Aurel BGC, prévision qui se situait dans le bas du consensus.
Le bureau d'études note cependant que les ventes des magasins en propre, en données comparables, n'ont augmenté que de 10%, impliquant une croissance organique de seulement 8% sur le deuxième trimestre contre une hausse de 10% attendue.
'Cette décélération des tendances s'explique principalement par un ralentissement des dépenses des clients chinois en Asie (localement et à l'étranger) alors que l'activité dans la zone EMEIA s'améliore par rapport au premier trimestre', explique Aurel BGC.
Ce dernier note aussi la prudence sur le reste de l'année de la direction, pour qui la récente dégradation de l'environnement de marché devrait partiellement compenser l'évolution favorable des devises au cours des derniers mois (appréciation du dollar face à la livre).
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Sur les six premiers mois de l'exercice, le chiffre d'affaires a augmenté de 7% (+14% hors effets de changes) à 1.100 millions de livres, dépassant ainsi légèrement les 1.072 millions anticipés par Aurel BGC, prévision qui se situait dans le bas du consensus.
Le bureau d'études note cependant que les ventes des magasins en propre, en données comparables, n'ont augmenté que de 10%, impliquant une croissance organique de seulement 8% sur le deuxième trimestre contre une hausse de 10% attendue.
'Cette décélération des tendances s'explique principalement par un ralentissement des dépenses des clients chinois en Asie (localement et à l'étranger) alors que l'activité dans la zone EMEIA s'améliore par rapport au premier trimestre', explique Aurel BGC.
Ce dernier note aussi la prudence sur le reste de l'année de la direction, pour qui la récente dégradation de l'environnement de marché devrait partiellement compenser l'évolution favorable des devises au cours des derniers mois (appréciation du dollar face à la livre).
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