Bureau Veritas: Credit Suisse passe à la vente.
Actualité publiée le 17/01/17 09:39
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(CercleFinance.com) - Dans le cadre d'une revue sectorielle, Credit Suisse a dégradé tous ses conseils sur les grandes valeurs européennes de la certification. L'opinion des analystes sur le titre français Bureau Veritas passe directement de la position acheteuse de 'surperformance' à la vente ('sous-performance'), l'objectif de cours correspondant revenant de 20 à 17 euros.
'Nous dégradons notre opinion (sur l'ensemble du secteur) en raison des vents contraires qui menacent la croissance à court terme', attaque une note de recherche, qui cite aussi 'le risque de perturbation du commerce international et les valorisations relatives des titres'. Nonobstant l'amélioration de l'efficacité opérationnelle des grands noms du secteur, 'il y a mieux à faire ailleurs', notamment du côté des petits acteurs (Exova, Applus).
Dans le cas spécifique de Bureau Veritas, Credit Suisse sanctionne la faible tendance anticipée du côté des prestations rendues au secteur pétro-gazier, dont la reprise s'annonce plus lente que prévu à court terme. Ce qui vaut également pour la branche Marine, mais aussi pour les marchés de consommation courante, 'étant donné la rhétorique protectionniste qui émane des Etats-Unis'.
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Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
'Nous dégradons notre opinion (sur l'ensemble du secteur) en raison des vents contraires qui menacent la croissance à court terme', attaque une note de recherche, qui cite aussi 'le risque de perturbation du commerce international et les valorisations relatives des titres'. Nonobstant l'amélioration de l'efficacité opérationnelle des grands noms du secteur, 'il y a mieux à faire ailleurs', notamment du côté des petits acteurs (Exova, Applus).
Dans le cas spécifique de Bureau Veritas, Credit Suisse sanctionne la faible tendance anticipée du côté des prestations rendues au secteur pétro-gazier, dont la reprise s'annonce plus lente que prévu à court terme. Ce qui vaut également pour la branche Marine, mais aussi pour les marchés de consommation courante, 'étant donné la rhétorique protectionniste qui émane des Etats-Unis'.
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