Cisco: chahuté pour des résultats et perspectives moroses.
Actualité publiée le 14/11/13 15:39
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(CercleFinance.com) - Cisco accuse une lourde perte à Wall Street, après avoir dévoilé hier soir des résultats de premier trimestre contrastés, mais aussi des perspectives ternes.
L'équipementier télécom a enregistré un bénéfice par action de 0,53 dollar, contre 0,51 dollar attendu par le marché.
En revanche, les revenus trimestriels s'élèvent à 12,1 milliards de dollars, en augmentation de 2%. Les analystes visaient quant à eux plus de 12,3 milliards de dollars.
Ils soulignent que le 'shutdown' a impacté négativement les résultats du groupe, sensible aux commandes de l'Etat fédéral.
Par ailleurs, John Chambers, directeur général de Cisco, a livré des perspectives accueillies froidement par le marché. Il pointe du doigt un environnement macro-économique compliqué, en particulier dans les émergents.
Jefferies exprime sa surprise quant au déclin de l'activité dans cette partie du monde et voit un risque de pressions sur les marges à long-terme, tout comme Berenberg.
'Concurrence chinoise, manque d'innovation (les prochains trimestres seraient un point bas d'un nouveau cycle d'innovation selon John Chambers), rejet des équipements télécoms américains après l'affaire Prism' sont autant d'éléments cités par Aurel BGC pour expliquer aussi la contreperformance de Cisco.
Peu après l'ouverture de Wall Street, le titre Cisco perd près de 13%.
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L'équipementier télécom a enregistré un bénéfice par action de 0,53 dollar, contre 0,51 dollar attendu par le marché.
En revanche, les revenus trimestriels s'élèvent à 12,1 milliards de dollars, en augmentation de 2%. Les analystes visaient quant à eux plus de 12,3 milliards de dollars.
Ils soulignent que le 'shutdown' a impacté négativement les résultats du groupe, sensible aux commandes de l'Etat fédéral.
Par ailleurs, John Chambers, directeur général de Cisco, a livré des perspectives accueillies froidement par le marché. Il pointe du doigt un environnement macro-économique compliqué, en particulier dans les émergents.
Jefferies exprime sa surprise quant au déclin de l'activité dans cette partie du monde et voit un risque de pressions sur les marges à long-terme, tout comme Berenberg.
'Concurrence chinoise, manque d'innovation (les prochains trimestres seraient un point bas d'un nouveau cycle d'innovation selon John Chambers), rejet des équipements télécoms américains après l'affaire Prism' sont autant d'éléments cités par Aurel BGC pour expliquer aussi la contreperformance de Cisco.
Peu après l'ouverture de Wall Street, le titre Cisco perd près de 13%.
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