Dassault Aviation:reprise des négociations du Rafale aux EAU
Actualité publiée le 05/08/11 12:00
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(CercleFinance.com) - Les négociations entre les Emirats arabes unis (EAU) et la France auraient repris pour l'achat éventuel de 60 avions de combat Rafale par l'Etat du golfe persique indique ce matin La Tribune.
L'agence officielle des Emirats arabes unis avait indiqué que les négociations préliminaires portaient sur l'achat de 63 Rafales pour un montant compris entre 6 et 8 milliards d'euros indique le quotidien. Il serait désormais envisagé une signature entre septembre et la fin de l'année. Les opérations réalisées par le Rafale en Libye ont sans doute impressionnées les observateurs du Golfe indique La Tribune.
Les moteurs actuels du chasseur, qui ont 7,5 tonnes de poussée, devaient être remplacés par des moteurs plus puissants de 9 tonnes. Les Emirats seraient d'accord pour renoncer au moteur d'une poussée de 9 tonnes qui était une exigence initiale, selon les propos récents du ministre de la Défense, Gérard Longuet.
La rencontre intervenue mi-décembre entre le chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy et le prince héritier émirati, cheikh Mohammed bin Zayed al Nahyan, avait déjà permis de relancer des discussions initiées en juin 2008.
Reste un point qui n'aurait guère avancé : la reprise des 60 Mirage 2000 de l'armée de l'air émiratie.
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L'agence officielle des Emirats arabes unis avait indiqué que les négociations préliminaires portaient sur l'achat de 63 Rafales pour un montant compris entre 6 et 8 milliards d'euros indique le quotidien. Il serait désormais envisagé une signature entre septembre et la fin de l'année. Les opérations réalisées par le Rafale en Libye ont sans doute impressionnées les observateurs du Golfe indique La Tribune.
Les moteurs actuels du chasseur, qui ont 7,5 tonnes de poussée, devaient être remplacés par des moteurs plus puissants de 9 tonnes. Les Emirats seraient d'accord pour renoncer au moteur d'une poussée de 9 tonnes qui était une exigence initiale, selon les propos récents du ministre de la Défense, Gérard Longuet.
La rencontre intervenue mi-décembre entre le chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy et le prince héritier émirati, cheikh Mohammed bin Zayed al Nahyan, avait déjà permis de relancer des discussions initiées en juin 2008.
Reste un point qui n'aurait guère avancé : la reprise des 60 Mirage 2000 de l'armée de l'air émiratie.
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