Eiffage: recule sur une dégradation d'analyste.
Actualité publiée le 11/07/12 12:58
| Cours | Graphes | News | Forum |
(CercleFinance.com) - Eiffage essuie un recul de 2,8% à 24 euros, pénalisé par une note d'Aurel BGC qui abaisse sa recommandation de 'acheter' à 'conserver' et son objectif de cours de 40 à 25 euros.
Selon lui, l'objectif de retrouver des marges normatives d'ici trois ans pour l'énergie et cinq ans pour le TP est tout à fait possible, et même probable. Pour autant, à court terme, il juge 'vraisemblable que cela ne soit pas le cas, tant la seconde partie de 2012 et sans doute 2013 risquent d'être pénalisés par un contexte économique peu favorable'.
Le bureau d'études attend pour le groupe de construction concession un chiffre d'affaires de l'ordre de 6.768 millions d'euros sur le premier semestre, soit une hausse de 2,5%.
'Une révision à la baisse des BNA est possible dans le contexte actuel, mais elle devrait être limitée dans la mesure où les marges dans la construction sont déjà modestes et celles de la branche concession solides', estime Aurel BGC.
Il existe également selon lui un risque avec la sortie possible de Groupama (6,9% du capital) et il pense que le marché n'hésitera pas à sanctionner des déceptions sur les marges au premier semestre, un tassement des carnets des commandes ou des commentaires prudents concernant les perspectives.
Copyright © 2012 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Selon lui, l'objectif de retrouver des marges normatives d'ici trois ans pour l'énergie et cinq ans pour le TP est tout à fait possible, et même probable. Pour autant, à court terme, il juge 'vraisemblable que cela ne soit pas le cas, tant la seconde partie de 2012 et sans doute 2013 risquent d'être pénalisés par un contexte économique peu favorable'.
Le bureau d'études attend pour le groupe de construction concession un chiffre d'affaires de l'ordre de 6.768 millions d'euros sur le premier semestre, soit une hausse de 2,5%.
'Une révision à la baisse des BNA est possible dans le contexte actuel, mais elle devrait être limitée dans la mesure où les marges dans la construction sont déjà modestes et celles de la branche concession solides', estime Aurel BGC.
Il existe également selon lui un risque avec la sortie possible de Groupama (6,9% du capital) et il pense que le marché n'hésitera pas à sanctionner des déceptions sur les marges au premier semestre, un tassement des carnets des commandes ou des commentaires prudents concernant les perspectives.
Copyright © 2012 CercleFinance.com. Tous droits réservés.