E.ON: Jefferies reste à 'achat' après les résultats.
Actualité publiée le 10/08/16 15:25
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(CercleFinance.com) - Jefferies maintient sa recommandation 'achat' et son objectif de cours de 9,5 euros sur E.ON, malgré l'annonce d'un bénéfice net semestriel inférieur de 7% au consensus à cause d'un taux d'imposition plus élevé que prévu.
Le broker estime que de nouvelles dépréciations sont probables à court terme, après la lourde charge de 3,8 milliards d'euros sur les actifs d'Uniper inscrite au titre du semestre écoulé.
'Même avec la charge de dépréciation de ce jour, Uniper représente encore une valeur comptable de l'ordre de 11,5 milliards d'euros, ce qui parait élevé', juge en effet l'intermédiaire financier.
S'il reconnait des perspectives difficiles à court terme, Jefferies pense néanmoins qu'au-delà, le dossier demeure attractif sur la base des cash-flows stables du nouvel E.ON et d'un accord pragmatique sur le nucléaire.
Il rapporte en effet que 'des propos du directeur financier suggèrent qu'un accord avec le gouvernement allemand sur le dossier du passif nucléaire pourrait intervenir en septembre'.
Copyright © 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
Le broker estime que de nouvelles dépréciations sont probables à court terme, après la lourde charge de 3,8 milliards d'euros sur les actifs d'Uniper inscrite au titre du semestre écoulé.
'Même avec la charge de dépréciation de ce jour, Uniper représente encore une valeur comptable de l'ordre de 11,5 milliards d'euros, ce qui parait élevé', juge en effet l'intermédiaire financier.
S'il reconnait des perspectives difficiles à court terme, Jefferies pense néanmoins qu'au-delà, le dossier demeure attractif sur la base des cash-flows stables du nouvel E.ON et d'un accord pragmatique sur le nucléaire.
Il rapporte en effet que 'des propos du directeur financier suggèrent qu'un accord avec le gouvernement allemand sur le dossier du passif nucléaire pourrait intervenir en septembre'.
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