E.On: progresse malgré des résultats en berne.
Actualité publiée le 13/11/13 09:58
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(CercleFinance.com) - E.On progresse de 1,1% à 13,6 euros et figure ainsi dans le haut du DAX de Francfort, après des comptes marqués par des résultats en retrait et un abaissement d'objectifs annuels, mais aussi par une réduction de l'endettement net du groupe énergétique.
Sur les neuf premiers mois de 2013, le bénéfice net sous-jacent a été divisé par deux à 2,1 milliards d'euros, reflétant un Ebitda en retrait de 20% environ à 7,1 milliards, un niveau inférieur aux attentes des analystes.
A 89,3 milliards d'euros, les revenus d'E.On ont diminué de 5%, affectés notamment par la conjoncture de marché pour la génération d'électricité à partir d'énergies fossiles, et alors que les activités énergies renouvelables et solutions de distribution ont progressé.
E.On resserre à la baisse ses fourchettes d'objectifs pour 2013 avec un Ebitda attendu entre 9,2 et 9,3 milliards d'euros, contre 9,2-9,8 milliards précédemment, et un résultat net part du groupe attendu à 2,2-2,4 milliards (contre 2,2-2,6 milliards).
En revanche, la direction met en avant une réduction de la dette nette, à 33,1 milliards d'euros à fin septembre contre 35,9 milliards à fin décembre 2012, aidée par les cessions d'actifs comme celle de ses activités de gaz en Hongrie.
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Sur les neuf premiers mois de 2013, le bénéfice net sous-jacent a été divisé par deux à 2,1 milliards d'euros, reflétant un Ebitda en retrait de 20% environ à 7,1 milliards, un niveau inférieur aux attentes des analystes.
A 89,3 milliards d'euros, les revenus d'E.On ont diminué de 5%, affectés notamment par la conjoncture de marché pour la génération d'électricité à partir d'énergies fossiles, et alors que les activités énergies renouvelables et solutions de distribution ont progressé.
E.On resserre à la baisse ses fourchettes d'objectifs pour 2013 avec un Ebitda attendu entre 9,2 et 9,3 milliards d'euros, contre 9,2-9,8 milliards précédemment, et un résultat net part du groupe attendu à 2,2-2,4 milliards (contre 2,2-2,6 milliards).
En revanche, la direction met en avant une réduction de la dette nette, à 33,1 milliards d'euros à fin septembre contre 35,9 milliards à fin décembre 2012, aidée par les cessions d'actifs comme celle de ses activités de gaz en Hongrie.
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