E.ON: UBS n'est plus à 'achat'.
Actualité publiée le 16/08/16 11:01
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(CercleFinance.com) - UBS dégrade sa recommandation sur E.ON de 'achat' à 'neutre' et ajuste son objectif de cours de 8,65 à 8,30 euros, estimant que le groupe énergétique allemand devra lever des capitaux et payer un dividende plus bas à l'avenir.
S'il estime que la scission d'Uniper (activités de génération, de courtage et en Russie) a été préparée méticuleusement et pourrait surprendre positivement le mois prochain, le broker considère que ce bon démarrage se fait aux dépends de sa maison-mère.
UBS reconnait qu'E.ON va bientôt bénéficier de refinancements à des taux bas, mais il note que son profit opérationnel sera stable et qu'une levée de fonds de deux milliards d'euros serait requise, ce qui pourrait avoir un effet dilutif d'environ 15% sur ses prévisions.
'La nouvelle politique de dividende (taux de redistribution de 40-60%) est basse comparée à ses pairs', ajoute le courtier, pour qui 'ce taux n'est pas suffisant pour justifier un ratio de valorisation PE de 13,5 fois qui pourrait par ailleurs être raisonnable'.
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Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
S'il estime que la scission d'Uniper (activités de génération, de courtage et en Russie) a été préparée méticuleusement et pourrait surprendre positivement le mois prochain, le broker considère que ce bon démarrage se fait aux dépends de sa maison-mère.
UBS reconnait qu'E.ON va bientôt bénéficier de refinancements à des taux bas, mais il note que son profit opérationnel sera stable et qu'une levée de fonds de deux milliards d'euros serait requise, ce qui pourrait avoir un effet dilutif d'environ 15% sur ses prévisions.
'La nouvelle politique de dividende (taux de redistribution de 40-60%) est basse comparée à ses pairs', ajoute le courtier, pour qui 'ce taux n'est pas suffisant pour justifier un ratio de valorisation PE de 13,5 fois qui pourrait par ailleurs être raisonnable'.
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