FinMeccanica: renoue avec les bénéfices en 2013.
Actualité publiée le 20/03/14 10:35
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(CercleFinance.com) - FinMeccanica monte de 1,8% à 7,2 euros à Milan, salué pour la publication des comptes du conglomérat industriel italien pour 2013, marqués par un retour aux bénéfices et une progression de ses commandes.
Le groupe a ainsi engrangé un bénéfice net de 74 millions d'euros sur l'exercice écoulé, à comparer à des pertes significatives essuyées sur les deux années précédentes, bien que son profit opérationnel (EBITA) se soit tassé de 5% entre 2012 et 2013, à 949 millions.
FinMeccanica explique que son profit opérationnel a été pénalisé par une moindre performance d'AnsaldoBreda (matériel ferroviaire) et des difficultés persistantes de certains domaines de Selex ES (contrôle du trafic aérien).
Ces éléments défavorables ont toutefois été en partie compensés par les effets de restructurations et des plans d'efficience, qui ont permis d'améliorer la rentabilité du secteur aéronautique défense de 7,3% à 7,5%.
Les coupes dans les budgets de défense européens et américain ont conduit à un recul de 3% du chiffre d'affaires total, à 16 milliards d'euros, mais ses prises de commandes ont augmenté de 11% à près de 17,6 milliards.
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Le groupe a ainsi engrangé un bénéfice net de 74 millions d'euros sur l'exercice écoulé, à comparer à des pertes significatives essuyées sur les deux années précédentes, bien que son profit opérationnel (EBITA) se soit tassé de 5% entre 2012 et 2013, à 949 millions.
FinMeccanica explique que son profit opérationnel a été pénalisé par une moindre performance d'AnsaldoBreda (matériel ferroviaire) et des difficultés persistantes de certains domaines de Selex ES (contrôle du trafic aérien).
Ces éléments défavorables ont toutefois été en partie compensés par les effets de restructurations et des plans d'efficience, qui ont permis d'améliorer la rentabilité du secteur aéronautique défense de 7,3% à 7,5%.
Les coupes dans les budgets de défense européens et américain ont conduit à un recul de 3% du chiffre d'affaires total, à 16 milliards d'euros, mais ses prises de commandes ont augmenté de 11% à près de 17,6 milliards.
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