France Telecom: désaccord sur le prix de la 4e licence 3G.
Actualité publiée le 03/08/09 11:42
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(CercleFinance.com) - Suite au lancement de l'appel d'offre pour l'octroi de la 4e licence 3G, France Telecom a fait part de son intention de ' saisir la commission européenne ' pour contester le prix appliqué, qui ne lui semble pas ' équitable ', rapporte un porte parole du groupe.
Le gouvernement a finalement publié samedi 1e août au Journal officiel le décret lançant l'appel à candidatures pour l'attribution de la 4e licence 3G mais la procédure pourrait s'en trouver une nouvelle fois retardée.
En effet, France Télécom qui a acquis en 2000 la licence 3G pour 619 millions d'euros, ne digère pas qu'un nouvel opérateur puisse obtenir cette licence, qui offre la possibilité de recevoir Internet et télévision sur un téléphone, pour 240 millions d'euros. La maison mère d'Orange envisage ainsi de saisir la commission européenne ' pour aide d'État ', l'opérateur estime qu'un ' avantage est accordé au quatrième entrant ' et que ' les conditions ne sont pas équitables ', précise un porte parole du groupe.
Les requêtes de France Télécom ne sont pourtant pas restées lettre morte puisque au mois de juin dernier, le prix d'entrée avait été relevé de 206 millions d'euros à 240 millions d'euros. Par ailleurs, l'Etat a divisé les fréquences attribuées au nouvel opérateur en trois lots, qui offrent chacun une couverture nationale mais avec un nombre d'abonnés moindre.
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Le gouvernement a finalement publié samedi 1e août au Journal officiel le décret lançant l'appel à candidatures pour l'attribution de la 4e licence 3G mais la procédure pourrait s'en trouver une nouvelle fois retardée.
En effet, France Télécom qui a acquis en 2000 la licence 3G pour 619 millions d'euros, ne digère pas qu'un nouvel opérateur puisse obtenir cette licence, qui offre la possibilité de recevoir Internet et télévision sur un téléphone, pour 240 millions d'euros. La maison mère d'Orange envisage ainsi de saisir la commission européenne ' pour aide d'État ', l'opérateur estime qu'un ' avantage est accordé au quatrième entrant ' et que ' les conditions ne sont pas équitables ', précise un porte parole du groupe.
Les requêtes de France Télécom ne sont pourtant pas restées lettre morte puisque au mois de juin dernier, le prix d'entrée avait été relevé de 206 millions d'euros à 240 millions d'euros. Par ailleurs, l'Etat a divisé les fréquences attribuées au nouvel opérateur en trois lots, qui offrent chacun une couverture nationale mais avec un nombre d'abonnés moindre.
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