France Telecom: Orascom attise le contentieux Mobinil.
Actualité publiée le 16/04/09 11:02
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(CercleFinance.com) - Le conflit entre France Telecom et l'opérateur égyptien Orascom Telecom rebondit une fois de plus. Hier, Orascom a annoncé qu'à la date prévue (le 9 avril 2009, reporté au 15), le groupe français ne lui avait pas payé le prix fixé par une sentence arbitrale internationale pour le rachat de ses parts dans Mobinil.
Pour mémoire, en mars, la Chambre de commerce internationale avait décidé qu'Orascom devait céder les 29% environ au capital de Mobinil qu'il détenait à France Telecom. Cependant, Orascom souhaite que FT fasse également une offre obligatoire sur les minoritaires d'ECMS, une filiale de Mobinil, et le français ne veut pas pour l'instant.
Orascom argue de sa bonne foi en indiquant qu'il avait reporté l'échéance initiale du 9 avril au 15, tant sur le paiement des parts de Mobinil que pour l'offre sur ECMS.
Ambiance: le 13 avril, France Telecom avait demandé à Orascom de 'de cesser son agitation médiatique et de se conformer à la sentence arbitrale'. FT estime qu'il ne peut régler les actions Mobinil d'Orascom car elles font encore l'objet d'un nantissement au profit de ses créanciers, ce qu'il estime contraire à la sentence. En revanche, les fonds nécessaires sont disponibles.
Une fois ce préalable réglé, FT envisage une discussion sur ECMS.
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Pour mémoire, en mars, la Chambre de commerce internationale avait décidé qu'Orascom devait céder les 29% environ au capital de Mobinil qu'il détenait à France Telecom. Cependant, Orascom souhaite que FT fasse également une offre obligatoire sur les minoritaires d'ECMS, une filiale de Mobinil, et le français ne veut pas pour l'instant.
Orascom argue de sa bonne foi en indiquant qu'il avait reporté l'échéance initiale du 9 avril au 15, tant sur le paiement des parts de Mobinil que pour l'offre sur ECMS.
Ambiance: le 13 avril, France Telecom avait demandé à Orascom de 'de cesser son agitation médiatique et de se conformer à la sentence arbitrale'. FT estime qu'il ne peut régler les actions Mobinil d'Orascom car elles font encore l'objet d'un nantissement au profit de ses créanciers, ce qu'il estime contraire à la sentence. En revanche, les fonds nécessaires sont disponibles.
Une fois ce préalable réglé, FT envisage une discussion sur ECMS.
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