GDF Suez: Bryan Garnier est acheteur.
Actualité publiée le 25/11/14 11:50
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(CercleFinance.com) - Bryan Garnier préconise d'acheter le titre GDF Suez, avec un objectif de cours de 23 euros.
Attendue comme une année de transition, 2014 s'est avérée finalement un 'annus horribilis' pour le géant énergétique français, confronté notamment à des difficultés au Brésil et en Belgique, où les deux centrales qu'il exploite sont toujours arrêtées. Pour autant, les prévisions annuelles ont été confirmées et l'intermédiaire anticipe toujours une hausse de l'Ebitda de 5% en 2015.
GDF Suez anticipe désormais un bénéfice net compris entre 3,1 et 3,3 milliards d'euros, contre de 3,3 à 3,5 milliards auparavant, mais Bryan Garnier continue de considérer le groupe comme un 'maillon fort' du secteur en Europe. La dégradation conjoncturelle sur le Vieux Continent n'a en effet qu'un impact relatif sur ses comptes, considérant qu'il ne pèse que 16,5% de son Ebitda total.
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Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
Attendue comme une année de transition, 2014 s'est avérée finalement un 'annus horribilis' pour le géant énergétique français, confronté notamment à des difficultés au Brésil et en Belgique, où les deux centrales qu'il exploite sont toujours arrêtées. Pour autant, les prévisions annuelles ont été confirmées et l'intermédiaire anticipe toujours une hausse de l'Ebitda de 5% en 2015.
GDF Suez anticipe désormais un bénéfice net compris entre 3,1 et 3,3 milliards d'euros, contre de 3,3 à 3,5 milliards auparavant, mais Bryan Garnier continue de considérer le groupe comme un 'maillon fort' du secteur en Europe. La dégradation conjoncturelle sur le Vieux Continent n'a en effet qu'un impact relatif sur ses comptes, considérant qu'il ne pèse que 16,5% de son Ebitda total.
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