GDF Suez: contrat de 360 ME avec Alstom pour 4 centrales.
Actualité publiée le 18/07/13 17:19
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(CercleFinance.com) - GDF Suez Energy North America a confié à Alstom un contrat de service à long terme, d'un montant de 360 millions d'euros, qui porte sur la maintenance et la modernisation de quatre centrales au gaz naturel du groupe énergétique.
Ces centrales fonctionnent avec 14 turbines à gaz GT24 d'Alstom qui génèrent actuellement suffisamment d'électricité pour alimenter plus de trois millions de foyers au Texas et au Massachusetts.
Alstom assurera la gestion et la fourniture des pièces de rechange, de la mise à disposition de conseillers techniques, ainsi que des opérations de maintenance sur les 14 turbines pendant toute la durée du contrat. La première phase de modernisation débutera à l'automne 2014.
L'équipementier français dotera les turbines de nouvelles fonctionnalités permettant aux opérateurs de basculer entre deux modes d'exploitation, en fonction de la demande d'électricité du marché, sans interrompre le service des centrales.
Le premier mode d'exploitation permettra d'augmenter la capacité de production en cas de pic de la demande, alors que le second réduira les coûts de fonctionnement et de maintenance des turbines, en espaçant les travaux d'inspection durant les périodes de demande plus faible.
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Ces centrales fonctionnent avec 14 turbines à gaz GT24 d'Alstom qui génèrent actuellement suffisamment d'électricité pour alimenter plus de trois millions de foyers au Texas et au Massachusetts.
Alstom assurera la gestion et la fourniture des pièces de rechange, de la mise à disposition de conseillers techniques, ainsi que des opérations de maintenance sur les 14 turbines pendant toute la durée du contrat. La première phase de modernisation débutera à l'automne 2014.
L'équipementier français dotera les turbines de nouvelles fonctionnalités permettant aux opérateurs de basculer entre deux modes d'exploitation, en fonction de la demande d'électricité du marché, sans interrompre le service des centrales.
Le premier mode d'exploitation permettra d'augmenter la capacité de production en cas de pic de la demande, alors que le second réduira les coûts de fonctionnement et de maintenance des turbines, en espaçant les travaux d'inspection durant les périodes de demande plus faible.
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