GDF Suez: opère un 'changement d'identité'.
Actualité publiée le 16/04/12 14:50
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(CercleFinance.com) - Gérard Mestrallet, PDG de GDF Suez, a réuni la presse à la mi-journée après l'approbation de l'offre sur International Power.
Pour rappel, les administrateurs indépendants d'International Power ont approuvé l'offre révisée, de 418 pence par action, proposée par GDF Suez pour les 30% dans International Power qu'il ne détient pas.
Le patron de l'énergéticien français a qualifié l'opération, suite logique de la première étape du rapprochement réalisée en 2010, d''industrielle et stratégique, avant d'être financière'.
Elle vise pour GDF Suez à 'accélérer le développement dans les régions à forte croissance, améliorer le profil de croissance du groupe, avoir la pleine maîtrise de l'évolution du portefeuille global, bénéficier pleinement de la contribution aux résultats du pipeline de grands projets, ainsi qu'opérer une simplification et un recentrage du groupe'.
Gérard Mestrallet a évoqué un 'changement d'identité' pour GDF Suez, marqué par une présence accélérée dans le monde émergent.
Toutefois, il a indiqué que 'l'Europe reste indispensable en tant que coeur historique' du groupe qui repose désormais sur deux piliers, à savoir le Vieux Continent et les émergents.
'Le développement à l'international ne se fera pas au détriment de la France et de l'Europe', a assuré Gérard Mestrallet, précisant qu'aucune cession n'est prévue dans l'hexagone.
Concernant les objectifs financiers pour cette année, l'équipe de direction a revu en hausse ses ambitions, sans mettre à jour ses prévisions au-delà.
Enfin, GDF Suez entend reformuler sa stratégie dans le nucléaire à la mi-2012, après la clarification d'un certain nombre d'éléments, notamment dans l'attente de l'issue des élections présidentielles en France.
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Pour rappel, les administrateurs indépendants d'International Power ont approuvé l'offre révisée, de 418 pence par action, proposée par GDF Suez pour les 30% dans International Power qu'il ne détient pas.
Le patron de l'énergéticien français a qualifié l'opération, suite logique de la première étape du rapprochement réalisée en 2010, d''industrielle et stratégique, avant d'être financière'.
Elle vise pour GDF Suez à 'accélérer le développement dans les régions à forte croissance, améliorer le profil de croissance du groupe, avoir la pleine maîtrise de l'évolution du portefeuille global, bénéficier pleinement de la contribution aux résultats du pipeline de grands projets, ainsi qu'opérer une simplification et un recentrage du groupe'.
Gérard Mestrallet a évoqué un 'changement d'identité' pour GDF Suez, marqué par une présence accélérée dans le monde émergent.
Toutefois, il a indiqué que 'l'Europe reste indispensable en tant que coeur historique' du groupe qui repose désormais sur deux piliers, à savoir le Vieux Continent et les émergents.
'Le développement à l'international ne se fera pas au détriment de la France et de l'Europe', a assuré Gérard Mestrallet, précisant qu'aucune cession n'est prévue dans l'hexagone.
Concernant les objectifs financiers pour cette année, l'équipe de direction a revu en hausse ses ambitions, sans mettre à jour ses prévisions au-delà.
Enfin, GDF Suez entend reformuler sa stratégie dans le nucléaire à la mi-2012, après la clarification d'un certain nombre d'éléments, notamment dans l'attente de l'issue des élections présidentielles en France.
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