GTT: l'enquête coréenne fait décrocher le titre.
Actualité publiée le 01/02/16 11:02
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(CercleFinance.com) - Terrible séance pour GTT, dont l'action s'effondre de 19,8%, soit la plus forte baisse du SBF 120, après l'annonce de l'ouverture d'une enquête concernant ses pratiques commerciales avec ses clients chantiers navals coréens.
Celle-ci est conduite par la Korea Faire Trade Commission, l'autorité de la concurrence sud-coréenne, et est un coup de bambou pour les opérateurs.
Le bureau d'études spécialisé dans la conception de systèmes de stockage gaziers a réagi via un communiqué laconique dans lequel il a fait part de son intention de 'collaborer pleinement avec les autorités compétentes', mais n'a pas souhaité faire d'autres commentaires à ce stade.
Il reste que cette enquête pourrait sérieusement compromettre l'objectif de 10% des progressions des ventes au titre de l'exercice en cours, à plus forte raison quand on sait que les chantiers coréens pesaient... 88% du carnet de commandes à fin septembre.
Introduite en Bourse il y a près de 2 ans, la société, lourdement pénalisée par l'interminable dépression des prix du baril, a déjà vu sa capitalisation fondre de près de 29% depuis le 1er janvier. Sur un an, l'action accuse maintenant un recul de l'ordre de 45%.
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Celle-ci est conduite par la Korea Faire Trade Commission, l'autorité de la concurrence sud-coréenne, et est un coup de bambou pour les opérateurs.
Le bureau d'études spécialisé dans la conception de systèmes de stockage gaziers a réagi via un communiqué laconique dans lequel il a fait part de son intention de 'collaborer pleinement avec les autorités compétentes', mais n'a pas souhaité faire d'autres commentaires à ce stade.
Il reste que cette enquête pourrait sérieusement compromettre l'objectif de 10% des progressions des ventes au titre de l'exercice en cours, à plus forte raison quand on sait que les chantiers coréens pesaient... 88% du carnet de commandes à fin septembre.
Introduite en Bourse il y a près de 2 ans, la société, lourdement pénalisée par l'interminable dépression des prix du baril, a déjà vu sa capitalisation fondre de près de 29% depuis le 1er janvier. Sur un an, l'action accuse maintenant un recul de l'ordre de 45%.
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