Heineken: manque le consensus au 1er semestre.
Actualité publiée le 21/08/13 08:58
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(CercleFinance.com) - Heineken a fait part d'un bénéfice net ajusté d'éléments exceptionnels en baisse de 1% à 679 millions d'euros pour le premier semestre, soit 1,18 euro par action, alors que les analystes tablaient sur un BPA un peu supérieur à 1,20 euro.
Toujours en données ajustées, la marge opérationnelle s'est améliorée de 0,3 point à 14%, pour des revenus en croissance de 3% à 10,4 milliards d'euros, grâce à la consolidation d'Asia Pacific Breweries (APB).
En organique, les revenus du brasseur néerlandais ont diminué de 1% sur les six premiers mois de l'année, l'augmentation de 2% du revenu par hectolitre ne suffisant pas à compenser le recul de 3% des volumes vendus.
La direction souligne la progression de ses profits sur les marchés en développement, qui en représentent désormais la moitié de son profit opérationnel ajusté, ainsi que 139 millions d'euros d'économies de coûts générées ce semestre par son programme TCM2.
'Bien que la dynamique de revenus se soit améliorée en juillet sur fond de météo chaude en Europe, les conditions économiques sur plusieurs marchés clés continuent de peser sur les dépenses des consommateurs', prévient cependant le PDG Jean-François van Boxmeer.
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Toujours en données ajustées, la marge opérationnelle s'est améliorée de 0,3 point à 14%, pour des revenus en croissance de 3% à 10,4 milliards d'euros, grâce à la consolidation d'Asia Pacific Breweries (APB).
En organique, les revenus du brasseur néerlandais ont diminué de 1% sur les six premiers mois de l'année, l'augmentation de 2% du revenu par hectolitre ne suffisant pas à compenser le recul de 3% des volumes vendus.
La direction souligne la progression de ses profits sur les marchés en développement, qui en représentent désormais la moitié de son profit opérationnel ajusté, ainsi que 139 millions d'euros d'économies de coûts générées ce semestre par son programme TCM2.
'Bien que la dynamique de revenus se soit améliorée en juillet sur fond de météo chaude en Europe, les conditions économiques sur plusieurs marchés clés continuent de peser sur les dépenses des consommateurs', prévient cependant le PDG Jean-François van Boxmeer.
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