H&M: nouveau repli, un analyste reste à la vente
Actualité publiée le 18/06/18 16:57
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(CercleFinance.com) - Hennes & Mauritz (H&M) poursuit aujourd'hui son mouvement de baisse sur l'OMX. UBS réaffirme sa recommandation 'vente' et son objectif de cours de 120 couronnes suédoises sur la valeur après la présentation par la chaine de vêtements scandinave de ventes atones sur son deuxième trimestre comptable.
'Un nouveau trimestre difficile pour H&M, avec de nouveaux risques de pressions sur la marge brute et de levier opérationnel inversé', pointe le broker dans sa note de recherche, jugeant que 'le nettoyage des stocks demeure une priorité majeure'.
La chaine de vêtements suédoise a annoncé vendredi dernier une croissance de 2% de ses ventes au deuxième trimestre comptable, à 60,5 milliards de couronnes suédoises.
En monnaies locales, le chiffre d'affaires est resté inchangé sur les trois mois de mars à mai 2018 en comparaison de la même période en 2017, alors que les économistes espéraient en moyenne une progression de 2%.
'Avant les résultats semestriels du 28 juin, les points d'interrogation demeurent sur les marges et les niveaux de stocks alors que la direction n'attendait pas d'amélioration majeure avant le second semestre', commente Bryan Garnier.
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'Un nouveau trimestre difficile pour H&M, avec de nouveaux risques de pressions sur la marge brute et de levier opérationnel inversé', pointe le broker dans sa note de recherche, jugeant que 'le nettoyage des stocks demeure une priorité majeure'.
La chaine de vêtements suédoise a annoncé vendredi dernier une croissance de 2% de ses ventes au deuxième trimestre comptable, à 60,5 milliards de couronnes suédoises.
En monnaies locales, le chiffre d'affaires est resté inchangé sur les trois mois de mars à mai 2018 en comparaison de la même période en 2017, alors que les économistes espéraient en moyenne une progression de 2%.
'Avant les résultats semestriels du 28 juin, les points d'interrogation demeurent sur les marges et les niveaux de stocks alors que la direction n'attendait pas d'amélioration majeure avant le second semestre', commente Bryan Garnier.
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