Holcim: UBS n'est plus à 'achat'.
Actualité publiée le 19/01/15 15:45
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(CercleFinance.com) - UBS dégrade sa recommandation sur Holcim de 'achat' à 'neutre' (de même que sur Lafarge avec lequel il doit fusionner) avec un objectif de cours ajusté de 76 à 65 francs suisses, dans une note consacrée au secteur européen des matériaux de construction.
Si les actions du ciment ont surperformé récemment grâce à la chute des prix de l'énergie, qui pourrait être selon UBS de 5 à 8% en 2015, le broker voit dans l'ensemble une inflation compte tenu de celle des coûts sur les marchés émergents.
'La macroéconomie demeure faible (en particulier en Europe) et la chute des cours du pétrole devrait impacter les dépenses dans des régions auparavant à forte croissance comme la Russie, le Moyen-Orient et l'Amérique du Nord', souligne par ailleurs le courtier.
'Le rapport offre-demande reste généralement défavorable et nous pensons qu'il pourrait être difficile pour les groupes du secteur de conserver les bénéfices complets liés à des baisses de coûts', poursuit l'intermédiaire financier.
Copyright © 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
Si les actions du ciment ont surperformé récemment grâce à la chute des prix de l'énergie, qui pourrait être selon UBS de 5 à 8% en 2015, le broker voit dans l'ensemble une inflation compte tenu de celle des coûts sur les marchés émergents.
'La macroéconomie demeure faible (en particulier en Europe) et la chute des cours du pétrole devrait impacter les dépenses dans des régions auparavant à forte croissance comme la Russie, le Moyen-Orient et l'Amérique du Nord', souligne par ailleurs le courtier.
'Le rapport offre-demande reste généralement défavorable et nous pensons qu'il pourrait être difficile pour les groupes du secteur de conserver les bénéfices complets liés à des baisses de coûts', poursuit l'intermédiaire financier.
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