Iliad: le Conseil d'Etat pourrait donner raison à Free.
Actualité publiée le 17/09/10 10:48
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(CercleFinance.com) - Bonne nouvelle à l'horizon pour Iliad et sa filiale Free : l'Arcep aurait demandé hier au Conseil d'Etat de rejeter les demandes de Bouygues Telecom et SFR d'annuler l'attribution de la quatrième licence mobile à Free, selon les informations des Echos.
' Cela ne présage en rien de la décision finale qui devrait être prise dans les semaines qui viennent. Mais force est de constater que les demandes du rapporteur public sont bien souvent suivies par les membres du Conseil d'Etat ', explique le quotidien économique et financier.
Les Echos rappelle que Bouygues Telecom et SFR plaident la nullité de l'attribution à Free de son accès à l'Internet mobile, arguant du prix trop bas payé par la filiale du groupe Iliad : celui-ci a dû débourser 240 millions d'euros, quand les deux opérateurs avaient payé 619 millions d'euros chacun en 2002 et 2003.
Toutefois, cette différence de prix s'explique par le fait que Free Mobile dispose d'une capacité hertzienne quatre fois moindre que ses concurrents, indique le quotidien, qui évoque un motif véritable moins avouable pour Bouygues et SFR : barrer la route à un nouveau concurrent.
Pour mémoire, l'Arcep est l'autorité de réglementation des communications électroniques et des postes.
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' Cela ne présage en rien de la décision finale qui devrait être prise dans les semaines qui viennent. Mais force est de constater que les demandes du rapporteur public sont bien souvent suivies par les membres du Conseil d'Etat ', explique le quotidien économique et financier.
Les Echos rappelle que Bouygues Telecom et SFR plaident la nullité de l'attribution à Free de son accès à l'Internet mobile, arguant du prix trop bas payé par la filiale du groupe Iliad : celui-ci a dû débourser 240 millions d'euros, quand les deux opérateurs avaient payé 619 millions d'euros chacun en 2002 et 2003.
Toutefois, cette différence de prix s'explique par le fait que Free Mobile dispose d'une capacité hertzienne quatre fois moindre que ses concurrents, indique le quotidien, qui évoque un motif véritable moins avouable pour Bouygues et SFR : barrer la route à un nouveau concurrent.
Pour mémoire, l'Arcep est l'autorité de réglementation des communications électroniques et des postes.
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