Ipsen: croissance tirée par la médecine de spécialité.
Actualité publiée le 29/10/12 08:55
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(CercleFinance.com) - Ipsen publie un chiffre d'affaires des neuf premiers mois en hausse de 5% hors effets de changes, à 924,7 millions d'euros, tiré par les ventes de médecine de spécialité en hausse de 12,8% à 652,2 millions.
'Le groupe bénéficie d'une croissance équilibrée avec ses trois franchises de spécialité (uro-oncologie, endocrinologie et neurologie) qui affiche chacune une croissance à deux chiffres. D'un point de vue géographique, les pays émergents ont continué à croître à un rythme soutenu, en progression de près de 20% d'une année sur l'autre', indique le PDG Marc de Garidel.
Ipsen précise qu'au troisième trimestre, les ventes de médicine générale (-16%) ont été pénalisées par le renforcement à partir de juillet de la règle 'tiers-payant' en France, mais grâce à une hausse de 14,9% des ventes de médecine de spécialité, le chiffre d'affaires trimestriel total a augmenté de 5% à 294,9 millions d'euros.
Pour l'année, Ipsen pense être en mesure d'atteindre (hors effets de change) une croissance de ses ventes de médecine de spécialité autour de 10%, une baisse de ses ventes de médecine générale d'environ 15% et une marge opérationnelle récurrente ajustée d'environ 15%.
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'Le groupe bénéficie d'une croissance équilibrée avec ses trois franchises de spécialité (uro-oncologie, endocrinologie et neurologie) qui affiche chacune une croissance à deux chiffres. D'un point de vue géographique, les pays émergents ont continué à croître à un rythme soutenu, en progression de près de 20% d'une année sur l'autre', indique le PDG Marc de Garidel.
Ipsen précise qu'au troisième trimestre, les ventes de médicine générale (-16%) ont été pénalisées par le renforcement à partir de juillet de la règle 'tiers-payant' en France, mais grâce à une hausse de 14,9% des ventes de médecine de spécialité, le chiffre d'affaires trimestriel total a augmenté de 5% à 294,9 millions d'euros.
Pour l'année, Ipsen pense être en mesure d'atteindre (hors effets de change) une croissance de ses ventes de médecine de spécialité autour de 10%, une baisse de ses ventes de médecine générale d'environ 15% et une marge opérationnelle récurrente ajustée d'environ 15%.
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