Kingfisher: continue sur sa lancée, un broker en soutien.
Actualité publiée le 03/12/10 13:41
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(CercleFinance.com) - Kingfisher continue sur sa lancée, gagnant encore 1,4% à 259 pence, après s'être envolé de 7,2% jeudi sur son point d'activité. En réaction, UBS a rehaussé ce matin son objectif de cours de 270 à 285 pence et réaffirmé son conseil 'achat'.
Le courtier souligne que les performances en France et à l'international sont ressorties supérieures aux attentes, avec notamment une réduction des pertes en Chine, et que Kingfisher disposerait d'une trésorerie nette de plus de 100 millions de livres à la fin de l'année, contre une dette nette de 75 millions attendue précédemment par UBS.
L'intermédiaire augmente légèrement ses prévisions de profit imposable à 665 millions de livres pour l'exercice 2010-11, et à 750 millions pour 2011-12, pour tenir compte d'une amélioration de dynamique en Pologne et d'un endettement moyen plus faible. Il table sur un BPA 2010-11 de 19,6 pence, contre 19,4 pence en estimation précédente.
Si l'action se traite en ligne avec son secteur, le broker estime qu'une prime serait justifiée, étant donné que le Royaume Uni ne représente qu'un tiers de son profit opérationnel, la forte exposition du groupe aux marchés émergents et son bilan solide.
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Le courtier souligne que les performances en France et à l'international sont ressorties supérieures aux attentes, avec notamment une réduction des pertes en Chine, et que Kingfisher disposerait d'une trésorerie nette de plus de 100 millions de livres à la fin de l'année, contre une dette nette de 75 millions attendue précédemment par UBS.
L'intermédiaire augmente légèrement ses prévisions de profit imposable à 665 millions de livres pour l'exercice 2010-11, et à 750 millions pour 2011-12, pour tenir compte d'une amélioration de dynamique en Pologne et d'un endettement moyen plus faible. Il table sur un BPA 2010-11 de 19,6 pence, contre 19,4 pence en estimation précédente.
Si l'action se traite en ligne avec son secteur, le broker estime qu'une prime serait justifiée, étant donné que le Royaume Uni ne représente qu'un tiers de son profit opérationnel, la forte exposition du groupe aux marchés émergents et son bilan solide.
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