Linde: veut reprendre les discussions avec Praxair.
Actualité publiée le 08/12/16 09:28
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(CercleFinance.com) - Après que Air Liquide ait absorbé Airgas, les fusions restent d'actualité dans le secteur très fermé des gaz industriels et médicaux : l'allemand Linde a l'intention de reprendre les discussions avec l'américain Praxair, après que les deux groupes n'aient pu s'entendre sur une fusion entre égaux cet été.
Linde indique qu'il a pris cette décision, avalisée unanimement par ses instances dirigeantes, sur la base de la proposition reçue de la société américaine Praxair. Aucun détail n'a filtré, et Praxair n'a pour l'heure pas réagi officiellement.
Signe de bonne volonté : le patron opérationnel de Linde, Wolfgang Büchele, a dès hier mis fin à ses fonctions, soit plus tôt que prévu. Il a été remplacé au pied levé par Aldo Ernesto Belloni, ancien membre du directoire rappelé de sa retraite prise il y a deux ans.
Rappel des épisodes précédents : le 16 août, Linde avait confirmé l'existence de 'négociations préliminaires' à ce sujet avec Praxair. Puis le 12 septembre, le groupe allemand avait mis fin aux discussions, non pas en raison de l'intérêt stratégique incontesté de l'opération, mais en raison de détails faisant obstacle à un accord. Soit, selon les agences de presse et les analystes, la gouvernance et le siège du nouveau groupe.
Puis le 30 novembre, Linde déclarait, sans plus de précision, qu'il avait soumis à Praxair une proposition révisée relative à une fusion entre étaux.
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Linde indique qu'il a pris cette décision, avalisée unanimement par ses instances dirigeantes, sur la base de la proposition reçue de la société américaine Praxair. Aucun détail n'a filtré, et Praxair n'a pour l'heure pas réagi officiellement.
Signe de bonne volonté : le patron opérationnel de Linde, Wolfgang Büchele, a dès hier mis fin à ses fonctions, soit plus tôt que prévu. Il a été remplacé au pied levé par Aldo Ernesto Belloni, ancien membre du directoire rappelé de sa retraite prise il y a deux ans.
Rappel des épisodes précédents : le 16 août, Linde avait confirmé l'existence de 'négociations préliminaires' à ce sujet avec Praxair. Puis le 12 septembre, le groupe allemand avait mis fin aux discussions, non pas en raison de l'intérêt stratégique incontesté de l'opération, mais en raison de détails faisant obstacle à un accord. Soit, selon les agences de presse et les analystes, la gouvernance et le siège du nouveau groupe.
Puis le 30 novembre, Linde déclarait, sans plus de précision, qu'il avait soumis à Praxair une proposition révisée relative à une fusion entre étaux.
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