Lufthansa: pénalisé par la dégradation d'un broker.
Actualité publiée le 09/12/10 16:42
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(CercleFinance.com) - Lufthansa essuie l'une des plus fortes baisses à Francfort (-4,3% à 17 euros), pénalisé par une note défavorable de Morgan Stanley.
Ce dernier dégrade sa recommandation de 'surpondérer' à 'pondérer en ligne' avec un objectif de cours relevé de 16,5 à 20 euros, dans le cadre d'une note consacrée aux grandes compagnies aériennes européennes.
Le broker indique n'observer que peu de catalyseurs à court terme pour soutenir le titre du transporteur aérien allemand, dont il évalue le potentiel de progression à environ 15%, à comparer à 39% pour Air France-KLM et à 29% pour British Airways.
Concernant l'ensemble du secteur, Morgan Stanley prévoit un retour de la rentabilité à des sommets dans les 12 ou 18 prochains mois, alors que les actions se traitent avec des décotes de 25 ou 65% par rapport aux précédents pics de 2007.
'Les investisseurs sous-estiment la capacité des grandes compagnies à profiter de leur exposition au regain vigoureux du trafic et des rendements en transport de passagers, à une évolution meilleure que prévu du fret, et à l'impact possible des restructurations en moyen courrier et des économies de coûts', pense le courtier.
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Ce dernier dégrade sa recommandation de 'surpondérer' à 'pondérer en ligne' avec un objectif de cours relevé de 16,5 à 20 euros, dans le cadre d'une note consacrée aux grandes compagnies aériennes européennes.
Le broker indique n'observer que peu de catalyseurs à court terme pour soutenir le titre du transporteur aérien allemand, dont il évalue le potentiel de progression à environ 15%, à comparer à 39% pour Air France-KLM et à 29% pour British Airways.
Concernant l'ensemble du secteur, Morgan Stanley prévoit un retour de la rentabilité à des sommets dans les 12 ou 18 prochains mois, alors que les actions se traitent avec des décotes de 25 ou 65% par rapport aux précédents pics de 2007.
'Les investisseurs sous-estiment la capacité des grandes compagnies à profiter de leur exposition au regain vigoureux du trafic et des rendements en transport de passagers, à une évolution meilleure que prévu du fret, et à l'impact possible des restructurations en moyen courrier et des économies de coûts', pense le courtier.
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