Manitou: les trimestriels sanctionnés en Bourse.
Actualité publiée le 30/04/10 16:05
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(CercleFinance.com) - Vers 16h, Manitou enregistre l'une des plus fortes baisses sur le SBF 250 : le titre rétrocède 2,8% à 13 euros, au lendemain de la publication d'un chiffre d'affaires trimestriel jugé ' décevant ' et en dessous de ses attentes par Portzamparc.
Du coup, ce dernier a confirmé aujourd'hui sa recommandation ' conserver ' sur la valeur.
Le broker explique que le fabricant de matériel de manutention a publié un chiffre d'affaires de 162,1 millions d'euros pour son 1er trimestre 2010, en baisse de 15,5% à période comparable ; une performance en dessous de ses attentes (201,1 millions, +4,7%).
' L'écart avec nos estimations provient pour partie des commandes enregistrées au début de la période pour lesquelles nous attendions les premières livraisons dès ce trimestre ', explique le courtier, ajoutant que la croissance significative attendue au 2ème trimestre (+18%) devrait toutefois bénéficier de ces livraisons.
Reste qu'au-delà, les perspectives restent incertaines avec en-sus des risques opérationnels qui persistent et qui pourraient pénaliser la reprise le moment venu, prévient l'intermédiaire.
Les prises de commandes du deuxième trimestre seront donc déterminantes pour la suite de l'exercice, conclut le professionnel.
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Du coup, ce dernier a confirmé aujourd'hui sa recommandation ' conserver ' sur la valeur.
Le broker explique que le fabricant de matériel de manutention a publié un chiffre d'affaires de 162,1 millions d'euros pour son 1er trimestre 2010, en baisse de 15,5% à période comparable ; une performance en dessous de ses attentes (201,1 millions, +4,7%).
' L'écart avec nos estimations provient pour partie des commandes enregistrées au début de la période pour lesquelles nous attendions les premières livraisons dès ce trimestre ', explique le courtier, ajoutant que la croissance significative attendue au 2ème trimestre (+18%) devrait toutefois bénéficier de ces livraisons.
Reste qu'au-delà, les perspectives restent incertaines avec en-sus des risques opérationnels qui persistent et qui pourraient pénaliser la reprise le moment venu, prévient l'intermédiaire.
Les prises de commandes du deuxième trimestre seront donc déterminantes pour la suite de l'exercice, conclut le professionnel.
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