Marks & Spencer: les ventes trimestrielles déçoivent encore.
Actualité publiée le 07/07/16 15:43
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(CercleFinance.com) - Nuages persistants au-dessus de Marks & Spencer, confronté à un recul de ses ventes tant dans l'habillement et les articles pour la maison que dans l'alimentation au titre du trimestre clos le 2 juillet.
Elles affichent un retrait de 8,9% en glissement annuel dans l'habillement, aujourd'hui objet d'un important plan de relance, soit bien plus que la baisse de 5% qu'anticipaient les analystes. Et si les ventes ont beaucoup moins baissé dans l'alimentaire, leur diminution de 0,9% est là encore plus importante qu'attendu par le consensus (-0,2%).
De quoi préoccuper des investisseurs qui ont par ailleurs matière à s'inquiéter pour l'avenir d'un groupe forcément touché par le 'Brexit', lequel a selon sa direction déjà attenté à la confiance du consommateur. Pour autant, cette dernière a à ce stade maintenu ses objectifs annuels, jugeant prématuré de chiffrer les conséquences du résultat du référendum du 23 juin dernier.
La dépréciation de la livre pourrait également porter préjudice au groupe, estime Citigate dans une note. De leur côté, les opérateurs attendent par ailleurs de nouvelles informations quant aux aspects structurels de la stratégie portée par le CEO Steve Rowe, poursuit l'analyste. Une partie au moins du voile pourrait être levée à l'occasion de la publication des comptes annuels début novembre.
Pour l'heure, le management se veut plutôt rassurant, estimant par-delà le maintien des guidances que le repli marqué des ventes dans l'habillement s'explique en grande partie par le lancement tardif de la collection estivale.
Mal orienté en début de séance, le titre est repassé dans le vert, s'adjugeant 1,3% vers 15h45.
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Elles affichent un retrait de 8,9% en glissement annuel dans l'habillement, aujourd'hui objet d'un important plan de relance, soit bien plus que la baisse de 5% qu'anticipaient les analystes. Et si les ventes ont beaucoup moins baissé dans l'alimentaire, leur diminution de 0,9% est là encore plus importante qu'attendu par le consensus (-0,2%).
De quoi préoccuper des investisseurs qui ont par ailleurs matière à s'inquiéter pour l'avenir d'un groupe forcément touché par le 'Brexit', lequel a selon sa direction déjà attenté à la confiance du consommateur. Pour autant, cette dernière a à ce stade maintenu ses objectifs annuels, jugeant prématuré de chiffrer les conséquences du résultat du référendum du 23 juin dernier.
La dépréciation de la livre pourrait également porter préjudice au groupe, estime Citigate dans une note. De leur côté, les opérateurs attendent par ailleurs de nouvelles informations quant aux aspects structurels de la stratégie portée par le CEO Steve Rowe, poursuit l'analyste. Une partie au moins du voile pourrait être levée à l'occasion de la publication des comptes annuels début novembre.
Pour l'heure, le management se veut plutôt rassurant, estimant par-delà le maintien des guidances que le repli marqué des ventes dans l'habillement s'explique en grande partie par le lancement tardif de la collection estivale.
Mal orienté en début de séance, le titre est repassé dans le vert, s'adjugeant 1,3% vers 15h45.
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