Michelin: une politique de prix 'ferme et réactive' en 2011
Actualité publiée le 11/02/11 16:41
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(CercleFinance.com) - ' En 2011, nous aurons une politique de prix extrêmement ferme et réactive, pour tenir compte de l'évolution du coût des matières premières ', a martelé ce matin Jean-Dominique Sénard, le futur patron de Michelin.
L'envolée des cours des matières premières, en particulier du caoutchouc naturel (ingrédient clef d'un pneumatique), devrait en effet impacter de 1.500 millions d'euros le résultat opérationnel du groupe en 2011, selon les estimations communiquées ce matin.
Mais Jean-Dominique Sénard, qui n'est encore que gérant non commandité de Michelin, a voulu montrer que la situation était sous contrôle.
' 75% des surcoûts liés à la hausse des matières premières ont déjà été compensé grâce à nos hausses de prix ', a-t-il affirmé.
Il a souhaité en outre tempérer les inquiétudes au sujet des cours du caoutchouc.
' Le marché pense que le prix du caoutchouc naturel va monter jusqu'au ciel. Or, comme chacun sait, les arbres ne grimpent pas jusqu'au ciel, même pas les hévéas ', a déclaré le gérant non commandité de Michelin, précisant que ' si la volatilité est aujourd'hui à la hausse, elle peut très bien se retourner '.
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L'envolée des cours des matières premières, en particulier du caoutchouc naturel (ingrédient clef d'un pneumatique), devrait en effet impacter de 1.500 millions d'euros le résultat opérationnel du groupe en 2011, selon les estimations communiquées ce matin.
Mais Jean-Dominique Sénard, qui n'est encore que gérant non commandité de Michelin, a voulu montrer que la situation était sous contrôle.
' 75% des surcoûts liés à la hausse des matières premières ont déjà été compensé grâce à nos hausses de prix ', a-t-il affirmé.
Il a souhaité en outre tempérer les inquiétudes au sujet des cours du caoutchouc.
' Le marché pense que le prix du caoutchouc naturel va monter jusqu'au ciel. Or, comme chacun sait, les arbres ne grimpent pas jusqu'au ciel, même pas les hévéas ', a déclaré le gérant non commandité de Michelin, précisant que ' si la volatilité est aujourd'hui à la hausse, elle peut très bien se retourner '.
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