Natixis: transformation radicale de la BFI.
Actualité publiée le 19/12/08 08:38
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(CercleFinance.com) - Le Conseil de surveillance de Natixis, réuni le 18 décembre, a approuvé le plan de transformation de Natixis présenté par la direction générale visant à recentrer radicalement l'activité de Banque de financement et d'investissement (BFI) sur sa clientèle historique, des produits simples et une offre produit axée sur l'accompagnement des clients.
Le groupe de services financiers explique que ce plan a pour objectif d'aboutir à un profil de risque réduit et mieux contrôlé dans la BFI.
Il vient renforcer le plan de restructuration à l'oeuvre depuis mai 2008 via la résorption des actifs les plus risqués par la mise en place d'une équipe spécifique de cantonnement, la très forte réduction des foyers de perte dès 2009, l'accélération des actions énergiques de réduction des charges.
' Par cette décision, les deux actionnaires de référence confirment leur soutien à la direction générale et démentent toutes les allégations sans fondement concernant la fermeture de l'ensemble des activités de marché, le changement de direction, voire le démantèlement de Natixis. ' souligne le groupe.
Le plan de transformation de la BFI modifiera radicalement ses structures et ses activités. Les mesures adoptées concernent notamment l'arrêt des activités d'investissement pour compte propre crédit et structurés de crédit de celle des activités de marché les plus complexes (dérivés complexes actions, dérivés complexes de taux, dérivés de fonds) avec un pôle actions réduit, dé-risqué et fonctionnant à moindre coût.
La convergence vers la BFI transformée se traduira par une réduction de 40% des effectifs dans les activités de marché les plus complexes, soit une réduction de 15% des effectifs de la BFI : les effectifs totaux passeront de 5 700 en mars 2008 à 4 860 salariés à fin 2009. Elle se traduira également par une réduction de 10% des frais fixes directs liés à la BFI.
Les priorités de Natixis pour 2009 portent sur la réduction la plus rapide possible des sources de pertes et la diminution importante de la consommation d'actifs pondérés.
Les mesures ainsi prises doivent permettre au groupe de s'adapter au nouvel environnement économique qui résulte de la crise des subprimes et de la faillite de Lehman Brothers en septembre 2008.
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Le groupe de services financiers explique que ce plan a pour objectif d'aboutir à un profil de risque réduit et mieux contrôlé dans la BFI.
Il vient renforcer le plan de restructuration à l'oeuvre depuis mai 2008 via la résorption des actifs les plus risqués par la mise en place d'une équipe spécifique de cantonnement, la très forte réduction des foyers de perte dès 2009, l'accélération des actions énergiques de réduction des charges.
' Par cette décision, les deux actionnaires de référence confirment leur soutien à la direction générale et démentent toutes les allégations sans fondement concernant la fermeture de l'ensemble des activités de marché, le changement de direction, voire le démantèlement de Natixis. ' souligne le groupe.
Le plan de transformation de la BFI modifiera radicalement ses structures et ses activités. Les mesures adoptées concernent notamment l'arrêt des activités d'investissement pour compte propre crédit et structurés de crédit de celle des activités de marché les plus complexes (dérivés complexes actions, dérivés complexes de taux, dérivés de fonds) avec un pôle actions réduit, dé-risqué et fonctionnant à moindre coût.
La convergence vers la BFI transformée se traduira par une réduction de 40% des effectifs dans les activités de marché les plus complexes, soit une réduction de 15% des effectifs de la BFI : les effectifs totaux passeront de 5 700 en mars 2008 à 4 860 salariés à fin 2009. Elle se traduira également par une réduction de 10% des frais fixes directs liés à la BFI.
Les priorités de Natixis pour 2009 portent sur la réduction la plus rapide possible des sources de pertes et la diminution importante de la consommation d'actifs pondérés.
Les mesures ainsi prises doivent permettre au groupe de s'adapter au nouvel environnement économique qui résulte de la crise des subprimes et de la faillite de Lehman Brothers en septembre 2008.
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