Oracle: précisions sur la politique d'acquisitions.
Actualité publiée le 23/07/10 15:42
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(CercleFinance.com) - Karen Tillman, la porte-parole d'Oracle, a apporté certaines précisions vendredi concernant la politique d'acquisitions de son groupe à la suite de déclarations faites hier par l'un des cadres dirigeants à l'occasion d'une conférence consacrée aux hautes technologies.
Dans un bref communiqué, Karen Tillman assure que la stratégie d'Oracle en termes d'acquisitions n'a pas changé et que l'éditeur de logiciels d'entreprise ne s'est pas fixé de budget à cinq ans en la matière.
'Nous ne disposons même pas d'un budget à un an pour nos acquisitions', souligne-t-elle.
Ces précisions interviennent alors que Charles Phillips, le président d'Oracle, aurait déclaré hier à l'occasion de la conférence Fortune Brainstorm Tech 2010 que le groupe californien envisageait de consacrer un montant de 70 milliards de dollars à ses acquisitions au cours des cinq prochaines années.
'S'il est très peu probable que nous dépensions une somme proche de 70 milliards de dollars en cinq ans, nous avons l'intention de nous montrer opportunistes et, si les conditions de marché le méritent, nous procéderons à des rachats d'entreprises qui renforceront nos objectifs stratégiques et répondront aux besoins de nos clients', conclut Karen Tillman.
Le titre a ouvert sur une note relativement stable (-0,1% à 24,3 dollars) vendredi sur le Nasdaq.
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Dans un bref communiqué, Karen Tillman assure que la stratégie d'Oracle en termes d'acquisitions n'a pas changé et que l'éditeur de logiciels d'entreprise ne s'est pas fixé de budget à cinq ans en la matière.
'Nous ne disposons même pas d'un budget à un an pour nos acquisitions', souligne-t-elle.
Ces précisions interviennent alors que Charles Phillips, le président d'Oracle, aurait déclaré hier à l'occasion de la conférence Fortune Brainstorm Tech 2010 que le groupe californien envisageait de consacrer un montant de 70 milliards de dollars à ses acquisitions au cours des cinq prochaines années.
'S'il est très peu probable que nous dépensions une somme proche de 70 milliards de dollars en cinq ans, nous avons l'intention de nous montrer opportunistes et, si les conditions de marché le méritent, nous procéderons à des rachats d'entreprises qui renforceront nos objectifs stratégiques et répondront aux besoins de nos clients', conclut Karen Tillman.
Le titre a ouvert sur une note relativement stable (-0,1% à 24,3 dollars) vendredi sur le Nasdaq.
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