Orange: confirme des discussions avec l'iranien MCI.
Actualité publiée le 01/09/16 10:47
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(CercleFinance.com) - Par un bref communiqué, Orange confirme qu'il a entamé des discussions avec le premier opérateur mobile d'Iran, MCI, en vue d'une éventuelle coopération dans plusieurs domaines commerciaux et techniques. Ces pourparlers devraient déboucher dans les prochains mois, ajoute l'opérateur télécoms historique français.
Ce faisant, Orange confirme en partie les informations dévoilées hier soir par le Wall Street Journal (WSJ). Certes, l'éventuelle prise de participation d'Orange au capital de MCI, sur laquelle le WSJ insistait aussi, n'est pas évoquée nommément par le groupe français. Mais elle n'est pas démentie non plus.
Restant dans le vague, Orange ne l'exclut pas dans l'absolu : comme d'autres opérateurs internationaux, le groupe étudie les opportunités qui se présentent sur le marché iranien depuis la levée des sanctions internationales qui frappaient le pays.
Et Orange de terminer : nous menons des études de faisabilité pour comprendre et évaluer ce qui est possible dans cet environnement complexe, notamment concernant certaines sanctions économiques qui continuent de s'appliquer en Iran, écrit l'ex-France Telecom, dont l'Etat détient toujours environ 23% du capital.
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Ce faisant, Orange confirme en partie les informations dévoilées hier soir par le Wall Street Journal (WSJ). Certes, l'éventuelle prise de participation d'Orange au capital de MCI, sur laquelle le WSJ insistait aussi, n'est pas évoquée nommément par le groupe français. Mais elle n'est pas démentie non plus.
Restant dans le vague, Orange ne l'exclut pas dans l'absolu : comme d'autres opérateurs internationaux, le groupe étudie les opportunités qui se présentent sur le marché iranien depuis la levée des sanctions internationales qui frappaient le pays.
Et Orange de terminer : nous menons des études de faisabilité pour comprendre et évaluer ce qui est possible dans cet environnement complexe, notamment concernant certaines sanctions économiques qui continuent de s'appliquer en Iran, écrit l'ex-France Telecom, dont l'Etat détient toujours environ 23% du capital.
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