Pernod Ricard: n'a pas profité d'une note favorable.
Actualité publiée le 23/06/10 17:19
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(CercleFinance.com) - Vers 17h20, Pernod Ricard apparaît mal orienté sur un CAC 40 lui aussi déprimé : le titre perd 1,4% à 66,5 euros, malgré le relèvement d'AlphaValue sur la valeur, ce dernier estimant que le groupe de vins et spiritueux pourrait bénéficier de la vitalité persistante des marchés émergents, comme la Chine ou la Russie.
Du coup, ce dernier a relevé aujourd'hui son opinion à ' accumuler ' sur le titre Pernod Ricard (contre ' réduire ' précédemment), assortie d'un objectif de cours de 70,7 euros ( +3,1%).
Le bureau d'étude indépendant rappelle qu'un contrôle strict des coûts, associé à la mise en oeuvre des synergies liées à l'acquisition de Vin&Sprit, a permis l'an passé une augmentation du Rex (résultat d'exploitation) de 21,3%.
Ceci, accompagné d'une baisse des besoins en fonds de roulement, d'un contrôle des dépenses publi-promotionnelles, a entraîné la génération de 1 milliard d'euros de cash-flows disponibles, indique l'analyste, ce qui correspond aux objectifs du groupe, qui prévoit de générer près de 3 milliards d'ici 2010-2011.
Et ce, en dépit d'une hausse de l'endettement liée à l'acquisition de Vin&Sprit en 2008.
Cependant, l'expert conclut en rappelant le contexte difficile des marchés de l'Europe occidentale et de celui des Etats-Unis. Il se demande également si la vitalité des marchés émergents sera suffisante.
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Du coup, ce dernier a relevé aujourd'hui son opinion à ' accumuler ' sur le titre Pernod Ricard (contre ' réduire ' précédemment), assortie d'un objectif de cours de 70,7 euros ( +3,1%).
Le bureau d'étude indépendant rappelle qu'un contrôle strict des coûts, associé à la mise en oeuvre des synergies liées à l'acquisition de Vin&Sprit, a permis l'an passé une augmentation du Rex (résultat d'exploitation) de 21,3%.
Ceci, accompagné d'une baisse des besoins en fonds de roulement, d'un contrôle des dépenses publi-promotionnelles, a entraîné la génération de 1 milliard d'euros de cash-flows disponibles, indique l'analyste, ce qui correspond aux objectifs du groupe, qui prévoit de générer près de 3 milliards d'ici 2010-2011.
Et ce, en dépit d'une hausse de l'endettement liée à l'acquisition de Vin&Sprit en 2008.
Cependant, l'expert conclut en rappelant le contexte difficile des marchés de l'Europe occidentale et de celui des Etats-Unis. Il se demande également si la vitalité des marchés émergents sera suffisante.
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