Pizzorno: développe ses activités au Maghreb.
Actualité publiée le 01/12/08 08:30
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(CercleFinance.com) - Pizzorno Environnement a officiellement signé un contrat pour l'exploitation et la réhabilitation de la décharge de Djebel Chékir, à environ 25 km de Tunis. D'un montant de 20 millions d'euros, ce contrat d'une durée de 5 ans, renouvelable 5 ans, représente la gestion de 2,5 Mm3 de déchets ménagers et assimilés.
' Le savoir-faire du groupe Pizzorno Environnement dans la gestion des ISDND (Installations de Stockage des Déchets Non Dangereux) a permis de concrétiser ce premier partenariat public - privé avec la municipalité de Tunis. ' commente le groupe de traitement de déchets.
Par ailleurs, le groupe a remporté un nouveau contrat au Maroc d'un montant de l'ordre de 45 millions d'euros sur 15 ans pour l'exploitation et la réhabilitation de la décharge de Marrakech, projet répondant à la volonté de faciliter le développement touristique et résidentiel de la cité royale.
Le nouveau centre de stockage des déchets ultimes, équipé d'un centre de tri, centralisera l'ensemble des déchets solides de l'agglomération (300 000 tonnes par an) et permettra également le traitement in situ des lixiviats et la valorisation du biogaz, prévenant ainsi tout risque pour l'environnement.
Copyright © 2008 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
' Le savoir-faire du groupe Pizzorno Environnement dans la gestion des ISDND (Installations de Stockage des Déchets Non Dangereux) a permis de concrétiser ce premier partenariat public - privé avec la municipalité de Tunis. ' commente le groupe de traitement de déchets.
Par ailleurs, le groupe a remporté un nouveau contrat au Maroc d'un montant de l'ordre de 45 millions d'euros sur 15 ans pour l'exploitation et la réhabilitation de la décharge de Marrakech, projet répondant à la volonté de faciliter le développement touristique et résidentiel de la cité royale.
Le nouveau centre de stockage des déchets ultimes, équipé d'un centre de tri, centralisera l'ensemble des déchets solides de l'agglomération (300 000 tonnes par an) et permettra également le traitement in situ des lixiviats et la valorisation du biogaz, prévenant ainsi tout risque pour l'environnement.
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