Renault: Jefferies initie un suivi à 'sous-performance'.
Actualité publiée le 09/08/16 16:22
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(CercleFinance.com) - Dans une note consacrée au secteur automobile, Jefferies initie un suivi sur Renault à 'sous-performance' avec un objectif de cours de 65 euros, percevant le groupe au losange comme le plus dépendant de la croissance à court terme.
Parmi les huit constructeurs mondiaux abordés dans sa note, le broker se positionne à 'achat' sur BMW, Fiat Chrysler et PSA, à 'conserver' sur Daimler et General Motors, et à 'sous-performance' sur Renault, Ford et Volkswagen.
Jefferies déclare ne pas partager la vision négative sur la demande, tablant pour sa part sur une croissance de 3% ou plus des volumes mondiaux à moyen terme, mais il reconnait que le rythme en Europe est à risque.
'Les concepts de nouvelles automobiles stimulent la demande, mais requièrent des investissements qui créent des vents contraires significatifs pour la rentabilité', poursuit-il.
L'intermédiaire financier pointe aussi la complexité grandissante des bénéfices dans le secteur automobile, qui conduit selon lui à des décotes sur les multiples de valorisation.
Copyright © 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
Parmi les huit constructeurs mondiaux abordés dans sa note, le broker se positionne à 'achat' sur BMW, Fiat Chrysler et PSA, à 'conserver' sur Daimler et General Motors, et à 'sous-performance' sur Renault, Ford et Volkswagen.
Jefferies déclare ne pas partager la vision négative sur la demande, tablant pour sa part sur une croissance de 3% ou plus des volumes mondiaux à moyen terme, mais il reconnait que le rythme en Europe est à risque.
'Les concepts de nouvelles automobiles stimulent la demande, mais requièrent des investissements qui créent des vents contraires significatifs pour la rentabilité', poursuit-il.
L'intermédiaire financier pointe aussi la complexité grandissante des bénéfices dans le secteur automobile, qui conduit selon lui à des décotes sur les multiples de valorisation.
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