Roche: des données encourageantes dans le mélanome.
Actualité publiée le 23/11/15 09:06
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(CercleFinance.com) - Roche a annoncé lundi qu'environ la moitié des patients atteints d'un mélanome avancé et traités sous Cotellic plus Zelboraf étaient toujours en vie au bout de deux ans.
Le groupe biopharmaceutique suisse a dévoilé aujourd'hui des données issues d'une étude pivot montrant que l'emploi du Cotellic (cobimetinib) en association avec Zelboraf (vemurafenib), un autre de ses médicaments, avait permis à des patients atteints d'un mélanome non opérable ou métastatique de vivre significativement plus longtemps que sous Zelboraf administré seul.
Le traitement par Cotellic plus Zellboraf a réduit de 30% le risque des décès des patients, contribuant à une survie médiane de presque deux ans - survie globale médiane de 22,3 mois, contre 17,4 mois sous Zelboraf seul.
'Il y a cinq ans, le taux de survie lors de mélanome avancé exprimant une mutation du gène BRAF se mesurait en mois, alors que nous le mesurons désormais en années', s'est félicitée Sandra Horning, la directrice de la recherche médicale de Roche.
Aucun nouvel élément n'a été mis en évidence en termes d'innocuité pendant la phase actuelle de suivi de l'étude.
Les résultats finaux de l'étude coBRIM relatifs à la survie globale ont été présentés lors du 12e congrès international de la Society for Melanoma Research (SMR) organisé à San Francisco du 18 au 21 novembre.
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Le groupe biopharmaceutique suisse a dévoilé aujourd'hui des données issues d'une étude pivot montrant que l'emploi du Cotellic (cobimetinib) en association avec Zelboraf (vemurafenib), un autre de ses médicaments, avait permis à des patients atteints d'un mélanome non opérable ou métastatique de vivre significativement plus longtemps que sous Zelboraf administré seul.
Le traitement par Cotellic plus Zellboraf a réduit de 30% le risque des décès des patients, contribuant à une survie médiane de presque deux ans - survie globale médiane de 22,3 mois, contre 17,4 mois sous Zelboraf seul.
'Il y a cinq ans, le taux de survie lors de mélanome avancé exprimant une mutation du gène BRAF se mesurait en mois, alors que nous le mesurons désormais en années', s'est félicitée Sandra Horning, la directrice de la recherche médicale de Roche.
Aucun nouvel élément n'a été mis en évidence en termes d'innocuité pendant la phase actuelle de suivi de l'étude.
Les résultats finaux de l'étude coBRIM relatifs à la survie globale ont été présentés lors du 12e congrès international de la Society for Melanoma Research (SMR) organisé à San Francisco du 18 au 21 novembre.
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