Roche: UBS n'est plus acheteur, gare à l'oncologie.
Actualité publiée le 06/07/17 11:53
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(CercleFinance.com) - UBS a révoqué ce matin son conseil positif quant au géant pharmaceutique suisse Roche. Le conseil d'achat fait place à une position neutre, l'objectif de cours à 12 mois sur le bon de jouissance restant fixé à 260 francs.
Les analystes estiment que les arguments qui sous-tendaient leur conseil d'achat s'étiolent : Roche se distingue en effet par une forte exposition à l'oncologie. Sa taille lui donne un avantage en ce qui concerne les essais cliniques, d'autant que la rentabilité de cette activité est supérieure à la moyenne des pharmas.
Cependant, des nuages obscurcissent l'horizon, estime UBS, qui 'est devenu plus prudent, d'une manière générale, sur l'oncologie', d'autant que le titre Roche leur semble proche de sa valeur d'équilibre.
Parmi les risques pointés du doigt : 'un indigestion d'innovation en Europe, et d'une manière générale un excès d'investissement dans la R&D cancérologique'. En effet, calcule UBS, les anti-cancéreux concentrent environ 10% des ventes mondiales de médicaments. Mais 'à ce jour, en 2017, 40% des nouveaux essais cliniques portent sur l'oncologie', indique une note.
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Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
Les analystes estiment que les arguments qui sous-tendaient leur conseil d'achat s'étiolent : Roche se distingue en effet par une forte exposition à l'oncologie. Sa taille lui donne un avantage en ce qui concerne les essais cliniques, d'autant que la rentabilité de cette activité est supérieure à la moyenne des pharmas.
Cependant, des nuages obscurcissent l'horizon, estime UBS, qui 'est devenu plus prudent, d'une manière générale, sur l'oncologie', d'autant que le titre Roche leur semble proche de sa valeur d'équilibre.
Parmi les risques pointés du doigt : 'un indigestion d'innovation en Europe, et d'une manière générale un excès d'investissement dans la R&D cancérologique'. En effet, calcule UBS, les anti-cancéreux concentrent environ 10% des ventes mondiales de médicaments. Mais 'à ce jour, en 2017, 40% des nouveaux essais cliniques portent sur l'oncologie', indique une note.
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